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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Communiqué du BCCN

Le Bureau central de coordination nationale (proche du mouvement aouniste) estime que «l’accord de Taëf ne constitue pas un simple amendement de la Constitution qui a permis de mettre fin à la guerre et qui a établi les principes de la paix civile». Pour le BCCN cet accord représente : «-une riposte à la décision du général Michel Aoun de fermer les ports illégaux qui permettaient la poursuite de la guerre à travers d’importantes importations d’armes. -un moyen pour légitimer la mainmise sur le Liban dans le but de permettre l’application, de cet accord. -Un message des grandes puissances au peuple libanais disant que la victoire revient toujours au plus fort -une tentative pour bafouer la souveraineté et la liberté du peuple libanais. -une violation, pour une durée indéterminée, des principes sur lesquels reposent l’entente nationale à travers des élections qui défigurent la volonté du peuple libanais. -une constante violation des droits de l’homme reconnue par toutes les organisations internationales. Cette violation a jeté une grande partie de la population dans les prisons. Ainsi, l’affaire de l’artiste Marcel Khalifé n’a été soulevée que pour distraire l’opinion publique du dossier des écoutes téléphoniques. -des centaines d’accords imposés du fait de la faiblesse du Liban sur le plan international. Par ailleurs, le BCCN a rendu hommage, à la suite de sa réunion hebdomadaire, aux «martyrs du Liban» morts le 13 octobre 1990.
Le Bureau central de coordination nationale (proche du mouvement aouniste) estime que «l’accord de Taëf ne constitue pas un simple amendement de la Constitution qui a permis de mettre fin à la guerre et qui a établi les principes de la paix civile». Pour le BCCN cet accord représente : «-une riposte à la décision du général Michel Aoun de fermer les ports illégaux qui permettaient...