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Actualités - CHRONOLOGIE

Nations Unies - L'implantation, une menace pour la stabilité du PO Hoss : les non de Barak, un obstacle à la paix

Le chef du gouvernement, M. Sélim Hoss, a estimé que les « non » formulés par le Premier ministre israélien Ehud Barak au lendemain de son entrée en fonctions constituent un obstacle à une reprise des négociations de paix. Dans le discours qu’il a prononcé hier lors de la 54e Assemblée générale des Nations unies, M. Hoss a déclaré que le refus de M. Barak «de se retirer jusqu’aux frontières de 1967, de démanteler les colonies juives et d’autoriser le retour des réfugiés palestiniens (…) ne traduisent pas la bonne foi supposée et ne laissent pas transparaître une réelle volonté de paix chez les Israéliens». M. Hoss a en outre réaffirmé le refus catégorique du Liban d’implanter les réfugiés palestiniens sur son territoire. Il a estimé à cet égard que l’installation définitive des réfugiés dans les pays d’accueil provisoire constitue «une menace pour la sécurité et la stabilité du Proche-Orient». «Nous appelons la communauté internationale à assumer ses responsabilités pour trouver une solution juste et équitable réglant définitivement le problème des réfugiés en prenant en compte les principes internationaux», a-t-il dit. M. Hoss a ajouté que le dossier des réfugiés ne devrait pas être traité uniquement sous ses aspects économique et social, mais aussi sous sa dimension politique.
Le chef du gouvernement, M. Sélim Hoss, a estimé que les « non » formulés par le Premier ministre israélien Ehud Barak au lendemain de son entrée en fonctions constituent un obstacle à une reprise des négociations de paix. Dans le discours qu’il a prononcé hier lors de la 54e Assemblée générale des Nations unies, M. Hoss a déclaré que le refus de M. Barak «de se retirer...