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Actualités - REPORTAGES

Aperçu historique

Choueir, à l’instar d’autres villages libanais, est née à proximité d’une source à une époque reculée remontant à l’ère grecque ainsi que le souligne Afif Merhej dans son ouvrage Connais le Liban tome III. De nombreux sarcophages ont été découverts dans le passé, entre Choueir et Dhour et d’autres entre Choueir et Khonchara. On trouve, par ailleurs, trace d’un temple grec sur la place de Ain el-Hanout et d’une tour romaine dont les pierres sont dispersées sur l’une des collines (Tallet el-Borj). Choueir s’est aussi illustré dans la fabrication d’armes, comme Zahlé et Baalbeck. Des inscriptions remontant au 17e siècle sont gravées sur les murs des couvents St-Elie et St-Jean Baptiste. À noter que les émigrés originaires de Choueir dépassent en nombre ceux qui habitent la localité actuellement. Certains Choueiri sont désignés par le nom de Haddad en raison du métier qu’ils exerçaient. Durant l’occupation ottomane, Dhour Choueir ne s’est pas soumise à l’autorité centrale. Durant leur progression, les troupes ottomanes sont arrivées en plein hiver à Aintoura et ont été bloquées par la neige. Les habitants de Dhour Choueir ont alors offert du pain et des pommes de terre à l’armée ottomane, menacée de famine. En raison de ce geste, les forces d’occupation ont renoncé à investir la localité.
Choueir, à l’instar d’autres villages libanais, est née à proximité d’une source à une époque reculée remontant à l’ère grecque ainsi que le souligne Afif Merhej dans son ouvrage Connais le Liban tome III. De nombreux sarcophages ont été découverts dans le passé, entre Choueir et Dhour et d’autres entre Choueir et Khonchara. On trouve, par ailleurs, trace d’un temple...