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Actualités - CHRONOLOGIE

Feu l'homme d'affaires

Un homme d’affaires égyptien s’est immolé par le feu devant le siège du Conseil des ministres et a laissé une lettre affirmant qu’il espérait bénéficier «chez Dieu de ses droits qu’il n’a pu obtenir sur terre». Ramzi Mohammed Abdel Mooti (50 ans), propriétaire d’une compagnie d’import-export au Caire, était à environ 200 mètres du siège du Conseil des ministres, au centre-ville, quand il a versé de l’essence sur ses vêtements avant d’y mettre le feu. Il s’est ensuite dirigé à pied vers le Conseil des ministres où il est arrivé en agonisant, a indiqué une source policière. Les policiers postés devant le Conseil des ministres n’ont pas eu le temps de le secourir. La police a trouvé près de son corps une lettre dans laquelle il affirmait avoir «décidé de se suicider car il espérait bénéficier chez Dieu des droits qu’il n’a pu obtenir sur terre». «Le châtiment de Dieu est meilleur que l’humiliation sur terre et j’ai préféré mourir devant les portes du pouvoir», a-t-il affirmé dans sa lettre. La police estime que l’homme d’affaires s’est immolé car il avait de graves problèmes financiers.
Un homme d’affaires égyptien s’est immolé par le feu devant le siège du Conseil des ministres et a laissé une lettre affirmant qu’il espérait bénéficier «chez Dieu de ses droits qu’il n’a pu obtenir sur terre». Ramzi Mohammed Abdel Mooti (50 ans), propriétaire d’une compagnie d’import-export au Caire, était à environ 200 mètres du siège du Conseil des...