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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Kabalan fustige les luttes politiques autour du problème des déplacés

Le vice-président du Conseil supérieur chiite, cheikh Abdel Amir Kabalan, a critiqué hier les «luttes politiques» autour du dossier du retour des populations déplacées, au lendemain de l’échange d’accusations et d’invectives à ce sujet entre le ministre concerné Walid Joumblatt et le chef du gouvernement Rafic Hariri. «Les Libanais devraient aller au-delà de leurs divergences et de leurs intérêts personnels et œuvrer sérieusement et avec responsabilité pour trouver des solutions aux grands problèmes nationaux, comme la question des populations déplacées», a déclaré cheikh Kabalan dans une allocution prononcée à Baalbeck. Un prélude à l’entente «Il n’est pas permis que la question des déplacés soit l’occasion de luttes politiques. Elle devrait constituer un véritable prélude à l’entente et à la concorde et les familles déplacées devraient pouvoir retourner chez elles loin de tout climat de défi ou de chantage», a ajouté le dignitaire. Dans une autre allocution, prononcée également à Baalbeck, cheikh Kabalan s’est félicité du congrès de Beiteddine sur les déplacés et jugé «beau que l’on puisse réunir les socialistes progressistes, les Kataëb et les PNL dans une aussi bonne rencontre qui rassemble tous les Libanais et qui est destinée à permettre le retour des familles déplacées». L’étalage du linge sale Il a cependant déploré que le congrès ait été l’occasion d’un «étalage de linge sale» avec l’Etat et souhaité que tous les leaderships spirituels prennent l’initiative, en accord avec le premier ministre Rafic Hariri, de lancer une opération «retour» avec l’aide des organisations humanitaires.
Le vice-président du Conseil supérieur chiite, cheikh Abdel Amir Kabalan, a critiqué hier les «luttes politiques» autour du dossier du retour des populations déplacées, au lendemain de l’échange d’accusations et d’invectives à ce sujet entre le ministre concerné Walid Joumblatt et le chef du gouvernement Rafic Hariri. «Les Libanais devraient aller au-delà de leurs...