Rechercher
Rechercher

Actualités - CHRONOLOGIE

Boueiz : chef de l'Etat et non une électorale

M. Farès Boueiz a annoncé avoir proposé la nomination du président Sélim Hoss au poste de chef du gouvernement. M. Boueiz a notamment mis l’accent sur la «probité» de M. Hoss dont il a également souligné «les capacités de changement, les aptitudes économiques et financières, le leadership politique et la popularité porteuse de tranquillité pour tous». En réponse à une question, M. Boueiz a estimé qu’«il n’existe actuellement aucun problème d’ordre constitutionnel. La Constitution a fait mention de consultations et non point d’élections. Et il ne s’agit pas là d’un oubli, d’une omission ou d’une erreur. Il n’a jamais été question de faire du chef de l’État une urne électorale mais uniquement de ne pas revenir aux pratiques du passé en vertu desquelles le président de la République nommait un Premier ministre de son propre chef et sans prendre l’avis préalable de l’Assemblée nationale». «Il reste, a encore dit le ministre des Affaires étrangères, qu’aucun texte n’interdit à un député de s’en remettre au chef de l’État. Encore une fois, il ne s’agit pas d’une élection. Car autrement, un député n’aurait bien évidemment pas eu le droit de déléguer un pouvoir qui lui aurait été octroyé par le peuple». À la question de savoir si le président Hariri a voulu provoquer une crise, M. Boueiz a répondu : «Le président Hariri a estimé que le nombre de voix qu’il avait obtenues était insuffisant. Il reste qu’il n’aurait pas dû transformer une affaire purement politique en une crise constitutionnelle».
M. Farès Boueiz a annoncé avoir proposé la nomination du président Sélim Hoss au poste de chef du gouvernement. M. Boueiz a notamment mis l’accent sur la «probité» de M. Hoss dont il a également souligné «les capacités de changement, les aptitudes économiques et financières, le leadership politique et la popularité porteuse de tranquillité pour tous». En réponse à...