Le roman est toujours un prolongement de la réalité... S’il s’en inspire, il la dépasse souvent et s’il est fruit de l’imaginaire, il rejoint aussi, même imperceptiblement, le quotidien... Curieux paradoxe de la littérature où fusionnent réalité et fiction. C’est ainsi qu’on aborde les deux ouvrages de Marie Rachou intitulés «Al hob fi saat ghadab» (L’amour dans un moment de colère) , 239 pages et «Harwalat fawq saquih Toledo» (Glissade sur verglas de Tolède), 238 pages. Ce dernier a obtenu le «prix de l’amitié» en 1991. Romans écrits avec verve et esprit où se déroulent les événements imprévisibles de la vie. Mystère de vivre et de créer habitent ces pages au lyrisme contenu et aux personnages brossés sur le vif et avec tendresse. Histoires à rebondissements multiples où l’auteur s’érige en authentique «conteur» oriental tout en épinglant au passage les travers de la société et du «système». Mais priorité est donnée à la description de personnages attachants et jaillis du cœur même de la vie. Style fluide et qui ne craint guère le populaire avec une touche où s’insèrent rêve et poésie.
Le roman est toujours un prolongement de la réalité... S’il s’en inspire, il la dépasse souvent et s’il est fruit de l’imaginaire, il rejoint aussi, même imperceptiblement, le quotidien... Curieux paradoxe de la littérature où fusionnent réalité et fiction. C’est ainsi qu’on aborde les deux ouvrages de Marie Rachou intitulés «Al hob fi saat ghadab» (L’amour...
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