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Actualités - REPORTAGE

Expositions Antoun chez Fadi Mogabgab (photos)

Un nouveau site : la galerie «Fadi Mogabgab», Horch Tabet, boulevard Charles-Hélou. Sa première exposition est consacrée à François Anton, un peintre basque de qualité dont les œuvres se retrouvent dans nombre de musées d’Europe. Dix-sept huiles sur le thème de l’homme-enfant, mettent en scène — et en mouvement — un adulte en complet cravate, qui s’amuse comme un petit fou ! Peintures ludiques aux titres pleins d’humour, qui entraînent le visiteur dans la ronde des jeux d’enfance: marelle, trottinette, colin-maillard, petits bateaux de papier… Le personnage-clé des toiles d’Anton court — dans «Naufrage» — costume impeccable et attaché-case à la main, derrière ses bateaux de papier entraînés dans un caniveau. Il joue à la marelle en veston gris, fait de la trottinette dans les corridors… Ou encore fait une déclaration d’amour… une grappe de cerises accrochée à l’oreille. Et lorgne par le trou de la serrure, dans un superbe triptyque, intitulé «Ecoute palière», où on le voit avancer progressivement du fauteuil à la porte d’une chambre, en passant devant un petit poisson rouge logé dans un verre à eau ! Sur fond gris, agrémenté de quelques touches de bleu ou de rose, des tableaux qui racontent des histoires amusantes. Jusqu’au 28 novembre. Nagi Abboud à la galerie Matignon La galerie Matignon, Horch Tabet, expose, jusqu’au 10 novembre, «Tropiques et Boréales», une cinquantaine d’acryliques du publicitaire Nagi Abboud, peintre à ses heures perdues. En un foisonnement de plantes, de fleurs, de feuillages et de broussailles, Nagi Abboud recrée sur de larges toiles les luxuriances de la nature. Couleurs franches et intenses ou harmonies fauves posées par touches panachées, formes et contours tracés au couteau, fantaisie des teintes… Un palmier rouge flamme surgi d’un enchevêtrement de fougères, des herbes mauves servant d’écrin à une fleur solitaire, des champs d’épis saupoudrés de feuille d’or…Mais aussi, une série de paysages plus «classiques» de steppes et de marécages… Amal Elias-Capaitzis à la Société Générale, Sin el-Fil Une quarantaine de tableaux classiques d’Amal Elias-Capaitzis sont accrochés jusqu’au 19 novembre au premier étage de la Société Générale, Sin el-Fil. Amal Elias-Capaitzis qui partage son temps entre le Liban et la Grèce a peint une série de marines: ports, navires, barques de pêcheurs et voiliers de plaisance… Mais également des paysages de plaine, de désert, de pâturages. Et quelques natures mortes fleurs et aux fruits… Palette variée, dessins nets et luminosité signent la facture des toiles de cette artiste, décoratrice de formation, au pinceau talentueux. Et qui dédie son exposition à son père, le grand architecte Rodolphe Elias.
Un nouveau site : la galerie «Fadi Mogabgab», Horch Tabet, boulevard Charles-Hélou. Sa première exposition est consacrée à François Anton, un peintre basque de qualité dont les œuvres se retrouvent dans nombre de musées d’Europe. Dix-sept huiles sur le thème de l’homme-enfant, mettent en scène — et en mouvement — un adulte en complet cravate, qui s’amuse comme un...