Depuis quelques jours, des travaux de réhabilitation ont été entamés à la rue Abdel Wahab el-Inglizi, au niveau du restaurant Al Dente, et se prolongent vers l’ouest, jusqu’à la rue de Damas, transformant la rue Sodeco en immense impasse. Des travaux s’étendant sur cinq cents mètres ont transformé les ruelles du quartier des jésuites en véritable enfer. Les files de voitures s’étendaient, interminables, toute la journée d’hier à Tabaris. Certains automobilistes sont restés bloqués plus de trente minutes à la rue du Liban qui débouche à la rue Abdel Wahab el-Inglizi. D’autres ont rebroussé chemin à partir du Ring, et sont restés prisonniers – durant des heures – dans leurs véhicules au niveau de la rue Rouchaid Dahdah (Églises du Saint-Sauveur et de Notre-Dame de l’Annonciation). Quelques-uns, à bout de nerfs, ont tenté de franchir en sens interdit la rue Abdel Wahab el-Inglizi. Un petit chantier dans une artère de la ville a ainsi transformé tout un secteur de Beyrouth en labyrinthe où même avec un fil d’Ariane il serait impossible de se retrouver.
Depuis quelques jours, des travaux de réhabilitation ont été entamés à la rue Abdel Wahab el-Inglizi, au niveau du restaurant Al Dente, et se prolongent vers l’ouest, jusqu’à la rue de Damas, transformant la rue Sodeco en immense impasse. Des travaux s’étendant sur cinq cents mètres ont transformé les ruelles du quartier des jésuites en véritable enfer. Les files de...
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