La semaine s’annonce de nouveau agitée sur les marchés financiers, avec la crise russe qui obscurcit l’horizon et les réunions des conseils de la Banque du Japon, de la BCE et de la Banque d’Angleterre. Les marchés américains sont fermés lundi pour le Labour Day et les seuls chiffres importants de la semaine sont les prix à la production vendredi. Une contraction de 0,1% est attendue à cause de la baisse des cours du pétrole et des matières premières. «Tout est à la grâce de Dieu. Il y a deux graves problèmes politiques: la déstabilisation de la Russie et le Japon, qui ne semble toujours pas décidé à agir. Et le marché des fonds d’Etat américains est complètement mené par Wall Street où haussiers et baissiers s’affrontent vivement», commente Alastair Alexander (Bank of Montreal). Le marché obligataire américain est devenu le grand refuge des liquidités à cause des problèmes des pays émergents, à quoi s’ajoute la conviction qu’une hausse des taux aux USA est exclue, explique-t-il.
La semaine s’annonce de nouveau agitée sur les marchés financiers, avec la crise russe qui obscurcit l’horizon et les réunions des conseils de la Banque du Japon, de la BCE et de la Banque d’Angleterre. Les marchés américains sont fermés lundi pour le Labour Day et les seuls chiffres importants de la semaine sont les prix à la production vendredi. Une contraction de 0,1%...
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