Rechercher
Rechercher

Actualités - CHRONOLOGIE

Cravate-code ? (photo)

L’équipe du procureur Kenneth Starr soupçonne Bill Clinton d’avoir voulu transmettre un message secret de soutien à Monica Lewinsky lorsque l’ancienne stagiaire de la Maison-Blanche avec laquelle il a finalement reconnu avoir eu une relation «inconvenante» a témoigné le 6 août devant le grand jury enquêtant sur cette liaison. Selon le «New York Times» d’hier, Clinton portait en effet ce jour-là, lors d’une cérémonie retransmise à la télévision, la cravate bleu marine et or qu’elle lui avait offerte deux ans plus tôt pour ses cinquante ans.(NOTRE TELEPHOTO AFP) «Quand je te verrai porter cette cravate, je saurai que je suis près de ton cœur», avait dit Lewinsky à Clinton en la lui offrant, rapporte le journal en se fondant sur le témoignage de la jeune Américaine devant le grand jury. En fait, celle-ci n’a pas su avant la fin de sa déposition devant le grand jury que Clinton arborait son cadeau et n’a pu en voir les images télévisées que plusieurs heures plus tard. Mais le choix vestimentaire du chef de la Maison-Blanche a paru suffisamment intrigant aux yeux de l’équipe des procureurs pour qu’ils le questionnent à ce sujet lors de sa propre déposition lundi dernier, révèle le «New York Times». Prié d’expliquer pourquoi il portait cette cravate particulière en ce jour particulier, le président américain a souri mais ses explications ont été plutôt confuses, ajoute le quotidien. Confronté à une photo de lui prise ce jour-là, Clinton a admis qu’il était possible que ce soit Lewinsky qui lui avait offert la cravate mais affirmait qu’il avait choisi de la porter sans aucune arrière-pensée. (Reuters)
L’équipe du procureur Kenneth Starr soupçonne Bill Clinton d’avoir voulu transmettre un message secret de soutien à Monica Lewinsky lorsque l’ancienne stagiaire de la Maison-Blanche avec laquelle il a finalement reconnu avoir eu une relation «inconvenante» a témoigné le 6 août devant le grand jury enquêtant sur cette liaison. Selon le «New York Times» d’hier, Clinton...