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Actualités - CHRONOLOGIE

Simon Karam contre les nominations dans la zone frontalière


«Les habitants de la zone frontalière doivent être les premiers à pouvoir voter, lors des prochaines municipales exactement comme ils l’ont fait lors des deux précédentes élections législatives de 1992 et de 1996».
C’est ce que demande M. Simon Karam, ancien ambassadeur du Liban à Washington et membre du Rassemblement pour Jezzine.
«Ce vote constitue pour les habitants de cette zone la meilleure expression de leur attachement à un pays qui les laisse complètement désemparés face à leur sort cruel et incertain» a ajouté M. Karam.
L’ancien ambassadeur du Liban cite à titre d’exemple deux localités symboles du martyr vécu au quotidien par cette région, celles, de Jezzine et de Beit Lif, la première subissant la terreur des mines placées le long des routes où circulent en permanence des civils, et la seconde ayant été bombardée dernièrement, le bilan s’élevant à une dizaine de morts civils.
«Les habitants de Jezzine et de Beit Lif n’ont aucun problème pour se rendre à Saïda, à Nabatié ou à Beyrouth, pour élire leurs représentants. Ils ne comprennent pas pourquoi les autorités libanaises s’acharnent à vouloir nommer des hommes liges à un moment où des élections peuvent être organisées de la façon la plus normale» s’est encore demandé M. Karam.
«Les habitants de la zone frontalière doivent être les premiers à pouvoir voter, lors des prochaines municipales exactement comme ils l’ont fait lors des deux précédentes élections législatives de 1992 et de 1996».C’est ce que demande M. Simon Karam, ancien ambassadeur du Liban à Washington et membre du Rassemblement pour Jezzine.«Ce vote constitue pour les habitants de...