«Une histoire vieille unit nos deux pays, sur les plans culturel, géographique et humain et doit pouvoir consolider nos relations. Je vois aujourd’hui la nécessité d’une meilleure compréhension et de davantage de coopération entre le Liban et la Turquie, en raison de la situation au Proche-Orient», a déclaré M. Boueiz.
«J’apprécie les efforts que vous accomplissez et je reconnais que les circonstances dans lesquelles vous êtes contraints de mener votre mission sont délicates», a dit M. Boueiz à l’ambassadeur, sans évoquer à aucun moment expressément le contentieux entre les deux pays, touchant notamment à la cause arménienne et à la coopération militaire entre la Turquie et Israël.
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