«Pour la première fois dans l’histoire des gouvernements au Liban, une commission spéciale planche sur un projet de réforme administrative». C’est ce qu’a déclaré hier le ministre en charge de cette réforme, M. Béchara Merhej, après avoir affirmé que le gouvernement Hariri est déterminé cette fois à mettre en œuvre le projet de refonte administrative.
M. Merhej s’est exprimé ainsi au cours d’une table ronde organisée par le «Club culturel arabe» sur le thème «Réforme administrative ou développement administratif?»
Réaliser la réforme
Après avoir réaffirmé la politique de base annoncée par le gouvernement, à savoir que toute nouvelle dépense doit s’accompagner de nouvelles recettes et que toute dépense importante doit être contrôlée, M. Merhej a rappelé que depuis 1992, le Cabinet Hariri est «conscient de la nécessité de réaliser la réforme». Selon lui, «la volonté et l’intention existent». Aussi, a-t-il souligné l’importance de la formation «pour la première fois dans l’histoire des gouvernements au Liban» d’une commission à qui le dossier de la réforme a été confiée.
Une ère nouvelle
Le ministre a expliqué que dans le passé, c’était un ministre qui planchait sur ce dossier avec ses conseillers, puis soumettait une série de propositions au Conseil des ministres qui en retenait quelques-unes. «Aujourd’hui, nous vivons une ère nouvelle sur le double plan politique et administratif», a-t-il déclaré avant d’exposer la mission de la commission susmentionnée. Il s’agit en réalité d’une double mission. «Formée de spécialistes et d’experts réputés pour leur compétence et leur intégrité, elle revoit la structure de l’Etat, en ce sens qu’elle révise la structure des administrations en même temps que celle des établissements publics. Pour la plupart, nos administrations ont été fondées dans les années cinquante, sur base de lois et de règles qui étaient en vigueur dans les années vingt et quarante».
Selon le ministre, la commission a achevé son projet de révision de la structure des administrations. «Il s’agit de propositions élaborées dans le cadre de programmes que le gouvernement doit examiner avant de les soumettre pour approbation au Parlement. Si elles sont retenues, nous aurons franchi un grand pas sur la voie de la réforme», a-t-il expliqué. M. Merhej n’a toutefois pas donné plus de précisions sur la nouvelle structure envisagée.
M. Merhej s’est exprimé ainsi au cours d’une table ronde organisée par le «Club culturel arabe» sur le thème «Réforme administrative ou développement administratif?»
Réaliser la réforme
Après avoir réaffirmé la politique de base annoncée par le gouvernement, à savoir que toute nouvelle dépense doit s’accompagner de nouvelles recettes et que toute dépense importante doit être contrôlée, M. Merhej a rappelé que depuis 1992, le Cabinet Hariri est «conscient de la nécessité de réaliser la réforme». Selon lui, «la volonté et l’intention existent». Aussi, a-t-il souligné l’importance de la formation «pour la première fois dans l’histoire des gouvernements au Liban» d’une commission à qui le dossier de la réforme a été confiée.
Une ère nouvelle
Le ministre a expliqué que dans le passé, c’était un ministre qui planchait sur ce dossier avec ses conseillers, puis soumettait une série de propositions au Conseil des ministres qui en retenait quelques-unes. «Aujourd’hui, nous vivons une ère nouvelle sur le double plan politique et administratif», a-t-il déclaré avant d’exposer la mission de la commission susmentionnée. Il s’agit en réalité d’une double mission. «Formée de spécialistes et d’experts réputés pour leur compétence et leur intégrité, elle revoit la structure de l’Etat, en ce sens qu’elle révise la structure des administrations en même temps que celle des établissements publics. Pour la plupart, nos administrations ont été fondées dans les années cinquante, sur base de lois et de règles qui étaient en vigueur dans les années vingt et quarante».
Selon le ministre, la commission a achevé son projet de révision de la structure des administrations. «Il s’agit de propositions élaborées dans le cadre de programmes que le gouvernement doit examiner avant de les soumettre pour approbation au Parlement. Si elles sont retenues, nous aurons franchi un grand pas sur la voie de la réforme», a-t-il expliqué. M. Merhej n’a toutefois pas donné plus de précisions sur la nouvelle structure envisagée.
«Pour la première fois dans l’histoire des gouvernements au Liban, une commission spéciale planche sur un projet de réforme administrative». C’est ce qu’a déclaré hier le ministre en charge de cette réforme, M. Béchara Merhej, après avoir affirmé que le gouvernement Hariri est déterminé cette fois à mettre en œuvre le projet de refonte administrative.M. Merhej...
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