«Il aurait fallu écarter le clientélisme de la Justice afin d’éviter que certains postes demeurent l’apanage d’une certaine fraction au détriment d’une autre, a souligné cheikh Kabalan. Cela est vrai plus particulièrement pour le Conseil supérieur de la Magistrature au sein duquel certaines communautés ne bénéficient pas d’un poste permanent. Des poste secondaires ont été accordés à certains magistrats alors que d’autres postes principaux sont restés aux mains d’autres magistrats».
«D’aucuns affirment que les responsables politiques n’interfèrent pas dans la Justice, mais en réalité les pôles d’influence ont eu une grande influence dans ces nominations», a précisé cheikh Kabalan.
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