Le chef de l’Armée du Liban-Sud (ALS), le général Antoine Lahd, a averti une nouvelle fois Israël hier de ne pas retirer sans conditions ses troupes du Liban-Sud.
«L’armée israélienne le paierait cher si elle devait se retirer ainsi du Liban et décidait un beau jour d’y retourner», a déclaré le général Lahd à un député israélien.
«En effet, en cas de retrait inconditionnel israélien, la population de la «zone de sécurité», (sous occupation israélienne) basculerait dans le camp du Hezbollah», a ajouté le général Lahd, dont les propos ont été rapportés à la radio israélienne par le député travailliste Ephraïm Sneh.
Le général de réserve Sneh a assuré Lahd que le parti travailliste n’abandonnerait pas à leur sort les miliciens de l’ALS.
Le général Lahd avait averti déjà lundi Israël qu’un retrait du Liban-Sud sans «accord international contresigné par la Syrie» équivaudrait à un lâchage de sa milice et à une victoire du Hezbollah contre l’Etat hébreu.
Il avait affirmé que, le cas échéant, la moitié de ses hommes rejoindraient le Hezbollah et les autres «créeraient une nouvelle milice anti-israélienne, ce qui obligerait Israël à revenir en force dans la région».
«Si Israël se retirait d’un coup, ce serait une victoire pour le Hezbollah», avait-il encore dit, soulignant qu’à son avis «à elle seule, l’armée libanaise ne pourrait tenir la frontière» ni interdire les infiltrations vers Israël.
«L’armée israélienne le paierait cher si elle devait se retirer ainsi du Liban et décidait un beau jour d’y retourner», a déclaré le général Lahd à un député israélien.
«En effet, en cas de retrait inconditionnel israélien, la population de la «zone de sécurité», (sous occupation israélienne) basculerait dans le camp du Hezbollah», a ajouté le général Lahd, dont les propos ont été rapportés à la radio israélienne par le député travailliste Ephraïm Sneh.
Le général de réserve Sneh a assuré Lahd que le parti travailliste n’abandonnerait pas à leur sort les miliciens de l’ALS.
Le général Lahd avait averti déjà lundi Israël qu’un retrait du Liban-Sud sans «accord international contresigné par la Syrie» équivaudrait à un lâchage de sa milice et à une victoire du Hezbollah contre l’Etat hébreu.
Il avait affirmé que, le cas échéant, la moitié de ses hommes rejoindraient le Hezbollah et les autres «créeraient une nouvelle milice anti-israélienne, ce qui obligerait Israël à revenir en force dans la région».
«Si Israël se retirait d’un coup, ce serait une victoire pour le Hezbollah», avait-il encore dit, soulignant qu’à son avis «à elle seule, l’armée libanaise ne pourrait tenir la frontière» ni interdire les infiltrations vers Israël.
Le chef de l’Armée du Liban-Sud (ALS), le général Antoine Lahd, a averti une nouvelle fois Israël hier de ne pas retirer sans conditions ses troupes du Liban-Sud.«L’armée israélienne le paierait cher si elle devait se retirer ainsi du Liban et décidait un beau jour d’y retourner», a déclaré le général Lahd à un député israélien.«En effet, en cas de retrait...
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