«Le temps était venu pour ouvrir la négociation avec les Syriens et aboutir à un règlement sur le problème du Golan et du Liban», a-t-il poursuivi.
«Il n’y a pas d’alternative. Nous avons eu cinq guerres. Israël a gagné toutes les guerres militairement. Aucune politiquement. Je ne pense pas qu’une sixième guerre changera cela», a estimé l’ancien dirigeant travailliste.
Il a refusé d’entrer dans la polémique créée en Israël après l’assassinat manqué d’un responsable du Hamas en Jordanie par des agents du Mossad, et le retour à Gaza du chef islamiste, cheikh Ahmad Yassine.
«Ce n’est pas à mon goût», s’est-il contenté de dire.
Enfin, l’ancien premier ministre israélien a plaidé à Paris en faveur d’un soutien économique de la France et de l’Allemagne «pour aider immédiatement les Palestiniens qui se trouvent dans une situation extrêmement dure».
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