Hoss interroge le gouvernement sur les prêts de la BM

Le président Sélim Hoss a adressé hier une question écrite au gouvernement via la présidence du Parlement au sujet du retard mis dans l’exécution des projets de développement financés à l’aide de prêts accordés par la Banque mondiale.
Il a demandé «si la Banque mondiale n’avait pas émis des objections ou des réserves sur le rythme suivi dans l’exécution de ces projets dont une grande partie est considérée comme vitale pour le pays».
Dans sa question, M. Hoss a souligné que «le Liban a signé entre 1993 et 1997, avec la Banque mondiale, dix prêts pour un montant de 604 millions de dollars. Les fonds retirés sur ces prêts ont atteint au 31/8/1997 16 millions de dollars soit 27% du montant global des prêts consentis sans pour autant qu’aucun des projets financés par ces fonds n’ait été achevé».
Il a par ailleurs exigé des explications au sujet de la position du gouvernement qui n’a pas encore utilisé les crédits consentis par la Banque mondiale pour l’exécution du projet de développement de l’infrastructure agricole (crédit de 31 millions de dollars) et le projet de
Le président Sélim Hoss a adressé hier une question écrite au gouvernement via la présidence du Parlement au sujet du retard mis dans l’exécution des projets de développement financés à l’aide de prêts accordés par la Banque mondiale.
Il a demandé «si la Banque mondiale n’avait pas émis des objections ou des réserves sur le rythme suivi dans l’exécution de ces projets dont une grande partie est considérée comme vitale pour le pays».
Dans sa question, M. Hoss a souligné que «le Liban a signé entre 1993 et 1997, avec la Banque mondiale, dix prêts pour un montant de 604 millions de dollars. Les fonds retirés sur ces prêts ont atteint au 31/8/1997 16 millions de dollars soit 27% du montant global des prêts consentis sans pour autant qu’aucun des projets financés par ces fonds n’ait été achevé».
Il a par ailleurs exigé des explications au sujet de la position du gouvernement qui n’a pas encore utilisé les crédits consentis par la Banque mondiale pour l’exécution du projet de développement de l’infrastructure agricole (crédit de 31 millions de dollars) et le projet de contrôle de la pollution du littoral (crédit de 53,3 millions de dollars).