Des représentantes d’une vingtaine d’associations féminines des professeurs d’université et des personnalités du monde de la culture ont pris part à ces séminaires dont le premier était consacré au rôle de la femme dans la société en tant qu’individu. Les intervenants ont mis l’accent sur les difficultés (et les facilités) rencontrées par les femmes actives dans le domaine public.
Les thèmes de la femme syndicaliste et de la femme membre d’organisations non gouvernementales ont été également abordés par plusieurs personnes. Mme Linda Matar a exposé dans ce cadre son expérience personnelle dans le domaine de la lutte des associations féminines au Liban.
Le premier séminaire a été clos par un exposé des résultats de deux études sur un échantillon de 400 personnes — dont plusieurs députés — portant sur tous les thèmes discutés pendant le séminaire.
Le deuxième séminaire était consacré aux moyens susceptibles d’éliminer les obstacles empêchant une participation plus active de la femme dans la vie publique, obstacles aussi bien législatifs que sociaux.
La deuxième partie de la discussion a porté sur l’élaboration d’un programme détaillé permettant à la femme libanaise d’avoir une plus grande responsabilité dans le domaine politique.
Les conclusions de ces deux séminaires feront l’objet d’un guide et d’un manuel qui seront prochainement publiés et mis à la disposition du public.
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