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Actualités - CHRONOLOGIE

Chronologie des principaux évènements (photos)


6 mai 1992: Le pays est paralysé par une grève générale à l’appel de la CGTL pour protester contre la crise socio-économique. Des manifestations se transforment en émeutes et provoquent la démission du chef du gouvernement, M. Omar Karamé.

8 juillet 1993: Les premières élections au sein de la CGTL depuis dix ans se terminent par la défaite de la liste soutenue par le ministre du Travail et conduite par M. Antoine Béchara et la victoire de M. Elias Abou Rizk appuyé par le bloc des fédérations de la gauche.

Octobre et décembre 1993: M. el-Amine octroie des licences à 13 syndicats non affiliés à la CGTL, provoquant la colère de la centrale syndicale.

Février 1994: Les relations s’enveniment entre le ministre du Travail et la CGTL à cause du projet de restructuration syndicale que M. el-Amine tente d’imposer à la Confédération.

16 février 1994: Six fédérations alliées de M. Béchara annoncent leur retrait du conseil exécutif de la CGTL.

20 février 1994: Réunion el-Amine-CGTL à Damas en présence du vice-président syrien, M. Abdel Halim Khaddam. Malgré des déclarations de bonnes intentions, la médiation syrienne ne parvient pas à régler le conflit entre les deux parties.

2 mars 1994: Les six fédérations hostiles à la CGTL se regroupent au sein de la CGSS, une structure inactive depuis 1970. Antoine Béchara en est élu président.

19 juillet 1995: Une manifestation organisée par la CGTL place Béchara el-Khoury est réprimée par les forces de l’ordre.

29 février 1996: L’armée décrète le couvre-feu dans le pays pour empêcher la centrale syndicale d’organiser des manifestations de protestation contre la politique socio-économique du gouvernement.

28 novembre 1996: Une centaine de personnes sont interpellées pendant une journée d’action syndicale décrétée par la CGTL.

Février 1997: Le ministère du Travail invite un représentant de la CGSS aux négociations visant à réorganiser la Caisse nationale de sécurité sociale.

Mars 1997: le ministère du Travail multiplie ses interventions dans les élections des syndicats et des fédérations pour évincer les syndicalistes proches de M. Abou Rizk.

13 avril 1997: Les Forces de sécurité intérieure arrêtent à l’intérieur du siège de la fédération des syndicats du Liban-Sud à Saïda plusieurs syndicalistes et journalistes pour permettre l’élection d’une nouvelle direction hostile au Conseil exécutif de la CGTL.

24 avril 1997: Les FSI tentent d’empêcher M. Elias Abou Rizk et ses alliés de tenir leurs élections au siège de la CGTL à Badaro et facilitent l’élection d’une autre direction de la centrale syndicale.

31 mai 1997: Elias Abou Rizk est arrêté et emprisonné pendant neuf jours pour «usurpation de titre et atteinte au prestige de l’Etat».
6 mai 1992: Le pays est paralysé par une grève générale à l’appel de la CGTL pour protester contre la crise socio-économique. Des manifestations se transforment en émeutes et provoquent la démission du chef du gouvernement, M. Omar Karamé.8 juillet 1993: Les premières élections au sein de la CGTL depuis dix ans se terminent par la défaite de la liste soutenue par le...