L’ANCIEN
AMBASSADEUR
US EST DE
RETOUR À
BEYROUTH
M. John Kelly a déclaré qu’il était optimiste pour l’avenir du Liban «en raison de la nature de son peuple».
M. Kelly, qui était ambassadeur à Beyrouth dans la seconde moitié des années 80, est arrivé hier en provenance de Francfort (Allemagne) à bord d’un appareil de la Middle East Airlines (MEA) pour participer aux réunions du «Board of Trustees» de l’AUB dont il est membre. Il a été accueilli à l’aéroport par M. Khattar Hadathi, vice-président responsable des relations publiques à la compagnie nationale d’aviation.
Interrogé sur la visite du secrétaire d’Etat, Mme Madeleine Albright, M. Kelly a répondu: «J’ai cru comprendre que sa tournée (au Proche-Orient) était nécessaire. Mais elle n’a rien donné de positif. J’espère néanmoins que le processus de paix va reprendre».
L’ancien diplomate a indiqué qu’il fera «l’impossible pour accélérer le retour des investissements américains au Liban. Je suis confiant. Après la fin de la tragédie libanaise et le lancement du processus de reconstruction, je pense que le Liban va redevenir un des plus importants centres d’affaires dans la région. Et il ne fait aucun doute que les Etats-Unis voudront être présents».
Affirmant qu’il avait œuvré auprès du Congrès américain en faveur de la levée des restrictions qui étaient imposées au Liban, M. Kelly a affirmé que tout n’est pas encore rentré dans l’ordre: «Malgré la levée des restrictions, il existe toujours un climat psychologique défavorable. Hier (lundi), lorsque j’ai pris l’avion à partir d’Atlanta, ils m’ont déconseillé d’aller au Liban qu’ils considèrent encore comme une zone dangereuse. Je pense que cela ternit la réputation du Liban. Nous devons changer cette mentalité et la MEA doit reprendre ses vols vers New York».
M. Kelly a déclaré qu’il ne se sentait pas «menacé» au Liban. «La situation a changé. Je veux dire aux Américains que le Liban est un pays calme et qu’ils peuvent s’y rendre à n’importe quel moment», a-t-il conclu.
AMBASSADEUR
US EST DE
RETOUR À
BEYROUTH
M. John Kelly a déclaré qu’il était optimiste pour l’avenir du Liban «en raison de la nature de son peuple».
M. Kelly, qui était ambassadeur à Beyrouth dans la seconde moitié des années 80, est arrivé hier en provenance de Francfort (Allemagne) à bord d’un appareil de la Middle East Airlines (MEA) pour participer aux réunions du «Board of Trustees» de l’AUB dont il est membre. Il a été accueilli à l’aéroport par M. Khattar Hadathi, vice-président responsable des relations publiques à la compagnie nationale d’aviation.
Interrogé sur la visite du secrétaire d’Etat, Mme Madeleine Albright, M. Kelly a répondu: «J’ai cru comprendre que sa tournée (au Proche-Orient) était nécessaire. Mais elle n’a rien donné de positif. J’espère néanmoins que le processus de paix va reprendre».
L’ancien diplomate a indiqué qu’il fera «l’impossible pour accélérer le retour des investissements américains au Liban. Je suis confiant. Après la fin de la tragédie libanaise et le lancement du processus de reconstruction, je pense que le Liban va redevenir un des plus importants centres d’affaires dans la région. Et il ne fait aucun doute que les Etats-Unis voudront être présents».
Affirmant qu’il avait œuvré auprès du Congrès américain en faveur de la levée des restrictions qui étaient imposées au Liban, M. Kelly a affirmé que tout n’est pas encore rentré dans l’ordre: «Malgré la levée des restrictions, il existe toujours un climat psychologique défavorable. Hier (lundi), lorsque j’ai pris l’avion à partir d’Atlanta, ils m’ont déconseillé d’aller au Liban qu’ils considèrent encore comme une zone dangereuse. Je pense que cela ternit la réputation du Liban. Nous devons changer cette mentalité et la MEA doit reprendre ses vols vers New York».
M. Kelly a déclaré qu’il ne se sentait pas «menacé» au Liban. «La situation a changé. Je veux dire aux Américains que le Liban est un pays calme et qu’ils peuvent s’y rendre à n’importe quel moment», a-t-il conclu.
L’ANCIEN AMBASSADEUR US EST DE RETOUR À BEYROUTHM. John Kelly a déclaré qu’il était optimiste pour l’avenir du Liban «en raison de la nature de son peuple».M. Kelly, qui était ambassadeur à Beyrouth dans la seconde moitié des années 80, est arrivé hier en provenance de Francfort (Allemagne) à bord d’un appareil de la Middle East Airlines (MEA) pour participer aux...
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