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Actualités - CHRONOLOGIE

Mise au point de la consommation de la drogue dans les universités libanaises

La société de sondage citée par le responsable de l’association «Jeunesse anti-drogue», le père Benoït Succar, lors de sa conférence de presse du 10 septembre (sur l’usage de la drogue, la consommation d’alcool et de tabagisme dans les universités libanaises) a démenti les chiffres avancés par le père Succar au sujet notamment de la proportion d’étudiants qui ont touché à la drogue.
Dans son communiqué publié au lendemain de la conférence de presse, la société a précisé que les chiffres avancés par le responsable de Jad «représentent la proportion d’étudiants qui considèrent que le haschisch ou la marijuana ne sont pas nocifs et non pas qui ont touché à la drogue». La société précise que les chiffres relatifs à la consommation de l’alcool et des cigarettes sont en revanche exacts.
Rappelons que le père Succar avait indiqué que la proportion d’étudiants qui ont touché à la drogue à l’AUB est de 42,7% contre 36,3% à la LAU, 21,9% à l’USJ, 11,5% à l’Université arabe et 9,2% à l’Université libanaise.
De son côté, l’AUB a précisé dans un communiqué publié hier que «le problème de la drogue ne se pose pas à l’université, d’autant que les lois de l’AUB sont très strictes à ce sujet et que toute infraction peut conduire au renvoi de son auteur parmi les étudiants».
La société de sondage citée par le responsable de l’association «Jeunesse anti-drogue», le père Benoït Succar, lors de sa conférence de presse du 10 septembre (sur l’usage de la drogue, la consommation d’alcool et de tabagisme dans les universités libanaises) a démenti les chiffres avancés par le père Succar au sujet notamment de la proportion d’étudiants qui ont...