Des militants de Greenpeace ont été empêchés hier par la force de prendre des échantillons «soupçonnés d’être toxiques» dans la principale usine d’incinération de déchets du Liban.
Les militants de l’organisation internationale s’étaient rendus tôt le matin à l’usine située dans le quartier de la Quarantaine, «où des matières soupçonnées de toxicité provenant principalement de déchets d’hôpitaux seraient incinérées», selon le représentant au Liban de Greenpeace, M. Fouad Hamdane.
Les militants accompagnés par la presse ont été agressés par des gardiens de la compagnie privée Sukomi, une filiale de Sukleen, chargée par l’Etat du ramassage des ordures dans la région de Beyrouth.
Les membres de Greenpeace ont été forcés de céder les échantillons qu’ils avaient pris afin de les analyser.
Selon un communiqué de Greenpeace, Sukomi a agi de la sorte «parce qu’elle a quelque chose à cacher», et «dans tout état de cause, l’Etat devrait fermer l’incinérateur de la Quarantaine, duquel se dégage une fumée qui pollue l’entrée nord de la capitale libanaise».
La société de ramassage Sukleen est tenue de séparer les ordures ménagères des déchets provenant des hôpitaux et de réserver à ces derniers un traitement spécial «afin d’épargner à la population de Beyrouth les risques d’une pollution toxique», a estimé l’organisation.
Selon Greenpeace, environ 140 hôpitaux libanais génèrent chaque année 650 tonnes de déchets dont l’incinération en plein air serait «dangereuse» pour la santé, car ces déchets contiennent des matières toxiques comme la dioxine.
Les militants de l’organisation internationale s’étaient rendus tôt le matin à l’usine située dans le quartier de la Quarantaine, «où des matières soupçonnées de toxicité provenant principalement de déchets d’hôpitaux seraient incinérées», selon le représentant au Liban de Greenpeace, M. Fouad Hamdane.
Les militants accompagnés par la presse ont été agressés par des gardiens de la compagnie privée Sukomi, une filiale de Sukleen, chargée par l’Etat du ramassage des ordures dans la région de Beyrouth.
Les membres de Greenpeace ont été forcés de céder les échantillons qu’ils avaient pris afin de les analyser.
Selon un communiqué de Greenpeace, Sukomi a agi de la sorte «parce qu’elle a quelque chose à cacher», et «dans tout état de cause, l’Etat devrait fermer l’incinérateur de la Quarantaine, duquel se dégage une fumée qui pollue l’entrée nord de la capitale libanaise».
La société de ramassage Sukleen est tenue de séparer les ordures ménagères des déchets provenant des hôpitaux et de réserver à ces derniers un traitement spécial «afin d’épargner à la population de Beyrouth les risques d’une pollution toxique», a estimé l’organisation.
Selon Greenpeace, environ 140 hôpitaux libanais génèrent chaque année 650 tonnes de déchets dont l’incinération en plein air serait «dangereuse» pour la santé, car ces déchets contiennent des matières toxiques comme la dioxine.
Des militants de Greenpeace ont été empêchés hier par la force de prendre des échantillons «soupçonnés d’être toxiques» dans la principale usine d’incinération de déchets du Liban.Les militants de l’organisation internationale s’étaient rendus tôt le matin à l’usine située dans le quartier de la Quarantaine, «où des matières soupçonnées de toxicité...
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