Tout en affirmant que «le rôle des ministres est entièrement marginalisé», M. Boueiz a précisé que «le président du Conseil est tout à fait conscient de l’urgence des solutions qu’il s’agit d’apporter à tous ces problèmes».
Le ministre des Affaires étrangères, a affirmé que «son différend avec M. Hariri ne revêt aucun caractère personnel» et qu’il se limite à certaines questions d’intérêt national dont «la dette publique, les problèmes économiques ainsi que la façon avec laquelle sont dirigés les débats en Conseil des ministres».
Interrogé à propos des attachés à l’Emigration, dont la nomination envenime l’atmosphère politique du pays depuis plusieurs mois, M. Boueiz s’est contenté de préciser que «le ministère libanais des A.E. communiquera aux pays concernés les noms des attachés qui leur seront affectés», et qu’«il reviendra à ces pays d’avaliser ou non ces nominations».
Enfin, M. Boueiz a précisé que «des mesures concrètes seront décidées demain (aujourd’hui) en Conseil des ministres à l’encontre de toute personne attrapée en flagrant délit d’infraction».
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