Après une année chargée d’activités, près de 250 enfants de l’AFEL (Association du Foyer de l’Enfant Libanais) vont pouvoir s’aérer en colonies.
Un premier groupe de 80 jeunes vient de passer cinq jours en camping volant à Batroun à la découverte de la vieille ville et 16 jours à Jouar Bouachek.
Actuellement, 45 autres enfants sont à Ghosta pour une durée de 21 jours. Au programme, des activités manuelles, artistiques, sportives, mais aussi des excursions pour découvrir le pays. Deux autres colonies sont également prévues à Jouar. Elles accueillent des enfants de l’AFEL mais aussi d’autres associations. «Nous ne pouvons fermer nos portes aux enfants, d’où qu’ils viennent», dit Simone Wardé, membre du conseil d’administration qui souligne l’apport des jeunes volontaires qui, le temps d’une colonie, s’improvisent moniteurs. En effet, 14 jeunes de l’ASMAE (Association des amis de Sœur Emmanuelle) sont venus exprès de France pour l’occasion. On trouve également quatre étudiantes de l’Ecole d’éducatrices spécialisées de l’USJ ainsi que de nombreux scouts ou routiers des collèges de la Sagesse et du Mont La Salle. «Ces jeunes voulaient aider, et nous n’avons refusé personne», explique encore Simone Wardé. «Par ailleurs, l’ASMAE, établie à Paris, contribue aux bourses scolaires de 400 enfants et cela depuis cinq ans.»
L’AFEL a également pensé aux enfants handicapés qui ne peuvent quitter leur famille ou sortir de Beyrouth. Pour eux, elle a organisé, à Bourj Hammoud, ce qu’elle a baptisé «Day Camp». C’est-à-dire une prise en charge de jour. Ces enfants viennent au centre le matin et repartent à 17 heures. Durant ce temps, les moniteurs leur organisent des jeux et des activités adaptés à leur situation.
Un premier groupe de 80 jeunes vient de passer cinq jours en camping volant à Batroun à la découverte de la vieille ville et 16 jours à Jouar Bouachek.
Actuellement, 45 autres enfants sont à Ghosta pour une durée de 21 jours. Au programme, des activités manuelles, artistiques, sportives, mais aussi des excursions pour découvrir le pays. Deux autres colonies sont également prévues à Jouar. Elles accueillent des enfants de l’AFEL mais aussi d’autres associations. «Nous ne pouvons fermer nos portes aux enfants, d’où qu’ils viennent», dit Simone Wardé, membre du conseil d’administration qui souligne l’apport des jeunes volontaires qui, le temps d’une colonie, s’improvisent moniteurs. En effet, 14 jeunes de l’ASMAE (Association des amis de Sœur Emmanuelle) sont venus exprès de France pour l’occasion. On trouve également quatre étudiantes de l’Ecole d’éducatrices spécialisées de l’USJ ainsi que de nombreux scouts ou routiers des collèges de la Sagesse et du Mont La Salle. «Ces jeunes voulaient aider, et nous n’avons refusé personne», explique encore Simone Wardé. «Par ailleurs, l’ASMAE, établie à Paris, contribue aux bourses scolaires de 400 enfants et cela depuis cinq ans.»
L’AFEL a également pensé aux enfants handicapés qui ne peuvent quitter leur famille ou sortir de Beyrouth. Pour eux, elle a organisé, à Bourj Hammoud, ce qu’elle a baptisé «Day Camp». C’est-à-dire une prise en charge de jour. Ces enfants viennent au centre le matin et repartent à 17 heures. Durant ce temps, les moniteurs leur organisent des jeux et des activités adaptés à leur situation.
Après une année chargée d’activités, près de 250 enfants de l’AFEL (Association du Foyer de l’Enfant Libanais) vont pouvoir s’aérer en colonies.Un premier groupe de 80 jeunes vient de passer cinq jours en camping volant à Batroun à la découverte de la vieille ville et 16 jours à Jouar Bouachek.Actuellement, 45 autres enfants sont à Ghosta pour une durée de 21 jours....
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