L’ancien secrétaire général du Hezbollah, cheikh Sobhi Toufaily, a réitéré samedi son refus de se rendre en visite à Téhéran.
«Je suis ici et je n’irai pas en Iran», a-t-il dit.
Cheikh Toufaily a par ailleurs repris une nouvelle fois ses attaques contre le gouvernement évoquant notamment «l’affaire du ramassage des ordures».
Au cours d’un meeting organisé à Baalbeck, cheikh Toufaily a ainsi affirmé: «Si les habitants de la banlieue de Beyrouth déposent leurs ordures dans des lieux où elles sont susceptibles de gêner le pouvoir, celui-ci commencera alors à chercher une solution. Le pouvoir ne comprend en effet que de tels procédés. Il l’a d’ailleurs prouvé lorsque nous avons proclamé la révolte des affamés et qu’il a commencé à se préoccuper de la situation économique alors qu’il ne s’était aucunement préoccupé auparavant des plaintes de la population et des déclarations des parlementaires».
Evoquant par ailleurs l’octroi d’une licence à la télévision «Al Manar», cheikh Toufaily a affirmé: «L’Etat ne nous a rien donné puisqu’il n’a pas autorisé «Al Manar» à émettre hors du Liban et par satellite. «Al Manar» émettait déjà sans licence et il aurait continué à le faire. L’Etat n’a donc fait que reconnaître le fait accompli».
Sur un autre plan, l’ancien secrétaire général du Hezbollah a affirmé que «la révolte des affamés est en faveur de tous les Libanais et nous œuvrerons en vue de la généraliser à toutes les régions libanaises. Car nous nous devons, malgré tout, de continuer afin de trouver le moyen de faire face «à l’orientale» aux gouvernants qui se prétendent ouverts au dialogue». Cheikh Toufaily a dans ce cadre indiqué qu’il ne participerait pas au meeting de Mayrouba en raison d’«engagements pris au préalable».
Il a conclu en indiquant, en réponse à une question, que «les organismes sécuritaires étatiques ont fait au Akkar ce qu’ils avaient fait dans la Békaa. Ils ont semé la peur dans les esprits des gens mais nous n’en avons pas moins réussi à établir des contacts et nous espérons faire mieux à l’avenir».
«Je suis ici et je n’irai pas en Iran», a-t-il dit.
Cheikh Toufaily a par ailleurs repris une nouvelle fois ses attaques contre le gouvernement évoquant notamment «l’affaire du ramassage des ordures».
Au cours d’un meeting organisé à Baalbeck, cheikh Toufaily a ainsi affirmé: «Si les habitants de la banlieue de Beyrouth déposent leurs ordures dans des lieux où elles sont susceptibles de gêner le pouvoir, celui-ci commencera alors à chercher une solution. Le pouvoir ne comprend en effet que de tels procédés. Il l’a d’ailleurs prouvé lorsque nous avons proclamé la révolte des affamés et qu’il a commencé à se préoccuper de la situation économique alors qu’il ne s’était aucunement préoccupé auparavant des plaintes de la population et des déclarations des parlementaires».
Evoquant par ailleurs l’octroi d’une licence à la télévision «Al Manar», cheikh Toufaily a affirmé: «L’Etat ne nous a rien donné puisqu’il n’a pas autorisé «Al Manar» à émettre hors du Liban et par satellite. «Al Manar» émettait déjà sans licence et il aurait continué à le faire. L’Etat n’a donc fait que reconnaître le fait accompli».
Sur un autre plan, l’ancien secrétaire général du Hezbollah a affirmé que «la révolte des affamés est en faveur de tous les Libanais et nous œuvrerons en vue de la généraliser à toutes les régions libanaises. Car nous nous devons, malgré tout, de continuer afin de trouver le moyen de faire face «à l’orientale» aux gouvernants qui se prétendent ouverts au dialogue». Cheikh Toufaily a dans ce cadre indiqué qu’il ne participerait pas au meeting de Mayrouba en raison d’«engagements pris au préalable».
Il a conclu en indiquant, en réponse à une question, que «les organismes sécuritaires étatiques ont fait au Akkar ce qu’ils avaient fait dans la Békaa. Ils ont semé la peur dans les esprits des gens mais nous n’en avons pas moins réussi à établir des contacts et nous espérons faire mieux à l’avenir».
L’ancien secrétaire général du Hezbollah, cheikh Sobhi Toufaily, a réitéré samedi son refus de se rendre en visite à Téhéran.«Je suis ici et je n’irai pas en Iran», a-t-il dit.Cheikh Toufaily a par ailleurs repris une nouvelle fois ses attaques contre le gouvernement évoquant notamment «l’affaire du ramassage des ordures».Au cours d’un meeting organisé à...
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