M. Ali el-Khalil, député de Tyr et président de la commission des Affaires étrangères au Parlement, a estimé hier que les nouvelles propositions israéliennes de paix avec le Liban visaient à provoquer la «discorde» dans ce pays et la dissociation des volets libanais et syrien du processus de paix.
M. el-Khalil, qui s’exprimait devant les journalistes à l’issue d’un entretien à Baabda avec le président Elias Hraoui, a déclaré: «J’ai examiné avec le chef de l’Etat la poursuite des agressions israéliennes et notamment l’attaque contre Maghdouché qui illustre un changement» dans la tactique israélienne.
«Nous avons également évoqué les théories israéliennes au sujet de la formule du Liban d’abord ou à peu près cela, et qui ont été transmises par le biais de l’émissaire européen ou par celui de la France», a-t-il poursuivi.
«Ces théories visent en pratique à provoquer la discorde intérieure et la dissociation des volets libanais et syrien», a-t-il affirmé, soulignant que le Liban «oppose à (ces idées) une position officielle et populaire claire, proclamant l’attachement à notre droit légitime à la résistance, exigeant l’application de la résolution 425 et des principes de la conférence de Madrid, et insistant sur l’indissociabilité des volets libanais et syrien».
Le ministre israélien de la Défense Yitzhak Mordechaï avait demandé la semaine dernière à la France d’aider au déblocage des pourparlers de paix entre Israël et le Liban.
D’autre part, l’émissaire européen au Proche-Orient Miguel Angel Moratinos a effectué au cours du week-end dernier une visite au Liban. Il avait cependant indiqué à cette occasion qu’il n’était pas porteur de propositions israéliennes.
M. el-Khalil, qui s’exprimait devant les journalistes à l’issue d’un entretien à Baabda avec le président Elias Hraoui, a déclaré: «J’ai examiné avec le chef de l’Etat la poursuite des agressions israéliennes et notamment l’attaque contre Maghdouché qui illustre un changement» dans la tactique israélienne.
«Nous avons également évoqué les théories israéliennes au sujet de la formule du Liban d’abord ou à peu près cela, et qui ont été transmises par le biais de l’émissaire européen ou par celui de la France», a-t-il poursuivi.
«Ces théories visent en pratique à provoquer la discorde intérieure et la dissociation des volets libanais et syrien», a-t-il affirmé, soulignant que le Liban «oppose à (ces idées) une position officielle et populaire claire, proclamant l’attachement à notre droit légitime à la résistance, exigeant l’application de la résolution 425 et des principes de la conférence de Madrid, et insistant sur l’indissociabilité des volets libanais et syrien».
Le ministre israélien de la Défense Yitzhak Mordechaï avait demandé la semaine dernière à la France d’aider au déblocage des pourparlers de paix entre Israël et le Liban.
D’autre part, l’émissaire européen au Proche-Orient Miguel Angel Moratinos a effectué au cours du week-end dernier une visite au Liban. Il avait cependant indiqué à cette occasion qu’il n’était pas porteur de propositions israéliennes.
M. Ali el-Khalil, député de Tyr et président de la commission des Affaires étrangères au Parlement, a estimé hier que les nouvelles propositions israéliennes de paix avec le Liban visaient à provoquer la «discorde» dans ce pays et la dissociation des volets libanais et syrien du processus de paix.M. el-Khalil, qui s’exprimait devant les journalistes à l’issue d’un...
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