zLe Conseil militaire suprême de Turquie a radié hier de l’armée des officiers et sous-officiers suspects de sympathies fondamentalistes, a annoncé la chaîne d’information en continu NTV.
NTV n’a pas précisé le nombre des militaires expulsés, qui avait été estimé entre 50 et 100, avant la réunion du Conseil.
Le Conseil, plus haut organe exécutif militaire turc, «a examiné les menaces internes et externes auxquelles fait face l’Etat et discuté de questions disciplinaires concernant certains membres des forces armées», a indiqué l’état-major général dans une déclaration.
Les «questions disciplinaires», selon les analystes, sont une référence à des officiers qui sont accusés d’avoir des liens avec des groupes extrémistes religieux.
L’armée, qui se considère comme la garante du caractère laïc de l’Etat, est très sensible à toute tentative d’infiltrer ses rangs par les islamistes. Le Conseil avait expulsé de l’armée près de 60 autres officiers islamistes lors de sa dernière réunion en décembre et M. Erbakan avait signé la décision.
Les militaires ont dicté fin février au gouvernement à dominante islamiste de M. Erbakan une série de mesures sévères pour mettre fin à la montée de la subversion islamiste.
Ces mesures incluent la fermeture des sections secondaires des écoles religieuses d’Etat, l’expulsion des extrémistes religieux de l’administration et l’interdiction de toute propagande fondamentaliste à la télévision.
En outre les militaires ont interdit aux municipalités contrôlées par le Parti de la Prospérité (Refah) de M. Erbakan de recruter les anciens officiers islamistes radiés de l’amée.
Toutefois, la résistance offerte par le Refah à la mise en œuvre de ces mesures a fait monter la tension ces dernières semaines.
Le Conseil militaire suprême devait également discuter de l’opération en cours de l’armée turque dans le nord de l’Irak, où elle pourchasse les rebelles kurdes, du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) séparatistes kurdes de Turquie).
NTV n’a pas précisé le nombre des militaires expulsés, qui avait été estimé entre 50 et 100, avant la réunion du Conseil.
Le Conseil, plus haut organe exécutif militaire turc, «a examiné les menaces internes et externes auxquelles fait face l’Etat et discuté de questions disciplinaires concernant certains membres des forces armées», a indiqué l’état-major général dans une déclaration.
Les «questions disciplinaires», selon les analystes, sont une référence à des officiers qui sont accusés d’avoir des liens avec des groupes extrémistes religieux.
L’armée, qui se considère comme la garante du caractère laïc de l’Etat, est très sensible à toute tentative d’infiltrer ses rangs par les islamistes. Le Conseil avait expulsé de l’armée près de 60 autres officiers islamistes lors de sa dernière réunion en décembre et M. Erbakan avait signé la décision.
Les militaires ont dicté fin février au gouvernement à dominante islamiste de M. Erbakan une série de mesures sévères pour mettre fin à la montée de la subversion islamiste.
Ces mesures incluent la fermeture des sections secondaires des écoles religieuses d’Etat, l’expulsion des extrémistes religieux de l’administration et l’interdiction de toute propagande fondamentaliste à la télévision.
En outre les militaires ont interdit aux municipalités contrôlées par le Parti de la Prospérité (Refah) de M. Erbakan de recruter les anciens officiers islamistes radiés de l’amée.
Toutefois, la résistance offerte par le Refah à la mise en œuvre de ces mesures a fait monter la tension ces dernières semaines.
Le Conseil militaire suprême devait également discuter de l’opération en cours de l’armée turque dans le nord de l’Irak, où elle pourchasse les rebelles kurdes, du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) séparatistes kurdes de Turquie).
zLe Conseil militaire suprême de Turquie a radié hier de l’armée des officiers et sous-officiers suspects de sympathies fondamentalistes, a annoncé la chaîne d’information en continu NTV.NTV n’a pas précisé le nombre des militaires expulsés, qui avait été estimé entre 50 et 100, avant la réunion du Conseil.Le Conseil, plus haut organe exécutif militaire turc, «a...
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