L’ancien chef du gouvernement Sélim Hoss a estimé hier que le Conseil constitutionnel aurait dû prononcer plus d’invalidations de mandats parlementaires qu’il ne l’a fait et souligné que les élections législatives de 1996 étaient «les pires» de l’histoire du Liban.
«Nous respectons les décisions du Conseil constitutionnel mais nous aurions souhaité que ces verdicts portent sur d’autres recours encore que des juristes avaient considéré comme pertinents», a déclaré M. Hoss.
«Quoi qu’il en soit, nous voulons exprimer notre attachement au Conseil constitutionnel, une institution sur laquelle beaucoup d’espoirs reposent», a poursuivi M. Hoss.
Il a souligné que c’était «la première fois dans l’histoire des élections législatives au Liban que dix-neuf recours en invalidation sont présentés et que des mandats parlementaires sont effectivement invalidés».
«Cela prouve en tout cas que le scrutin de 1996 était le pire de toutes les législatives jamais organisées au Liban, du fait des abus et des violations qui l’ont caractérisé», a conclu l’ancien premier ministre.
«Nous respectons les décisions du Conseil constitutionnel mais nous aurions souhaité que ces verdicts portent sur d’autres recours encore que des juristes avaient considéré comme pertinents», a déclaré M. Hoss.
«Quoi qu’il en soit, nous voulons exprimer notre attachement au Conseil constitutionnel, une institution sur laquelle beaucoup d’espoirs reposent», a poursuivi M. Hoss.
Il a souligné que c’était «la première fois dans l’histoire des élections législatives au Liban que dix-neuf recours en invalidation sont présentés et que des mandats parlementaires sont effectivement invalidés».
«Cela prouve en tout cas que le scrutin de 1996 était le pire de toutes les législatives jamais organisées au Liban, du fait des abus et des violations qui l’ont caractérisé», a conclu l’ancien premier ministre.
L’ancien chef du gouvernement Sélim Hoss a estimé hier que le Conseil constitutionnel aurait dû prononcer plus d’invalidations de mandats parlementaires qu’il ne l’a fait et souligné que les élections législatives de 1996 étaient «les pires» de l’histoire du Liban.«Nous respectons les décisions du Conseil constitutionnel mais nous aurions souhaité que ces verdicts...
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