Le vice-premier ministre a prononcé à cette occasion une allocution de circonstance dans laquelle il a rendu un vibrant hommage aux réalisations du régime du président syrien Hafez el-Assad. «Sous la conduite du président Hafez el-Assad, a notamment déclaré M. Murr, la révolution (menée par le «Baas» syrien), a réussi à assurer plus d’un quart de siècle de stabilité à la Syrie. Elle a enclenché, en outre, un important développement économique et un profond bouleversement social ainsi qu’une importante évolution sur le plan de la pensée politique, dans le cadre d’un plan global à long terme qui a permis à la Syrie de faire face aux défis internes, régionaux et internationax».
«Au niveau régional, a poursuivi M. Murr, la révolution (du 8 mars) a réussi, sous la conduite du président Assad, à affronter Israël aussi bien en temps de guerre que lors des pourparlers de paix. En octobre (1973), le président Assad a ainsi conduit avec courage une bataille pour rétablir la dignité arabe et briser le mythe de l’invincibilité de l’armée israélienne. Aujourd’hui, le président Assad a sauvé le Liban du complot visant à l’entraîner sur la voie de la partition et du démembrement».
De son côté, M. Seifeddine a souligné que «la révolution du 8 mars a constitué le début d’une nouvelle ère dans l’Histoire arabe contemporaine». Affirmant que «les acquis de cette révolution ont dépassé le cadre de la Syrie», M. Seifeddine a longuement évoqué les réalisations du régime du président Assad au niveau de la Syrie. rendant hommage à la politique du régime syrien au Liban, M. Seifeddine a déclaré: «Le Baas syrien a fait face au complot israélien visant à saper la formule de coexistence intercommunautaire au Liban. L’intérêt manifesté par la Syrie d’Assad à l’égard du Liban est le reflet de constantes historiques et géographiques qui lient le Liban à la Syrie. Nous sommes tous dans ces deux pays les fils d’une même nation arabe. Les accords conclus entre les deux pays sont le fruit des liens éternels qui existent entre un même peuple vivant dans deux pays», a conclu M. Seifeddine.
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