Les deux concerts de Lavoine «le beau gosse» ont mobilisé un public essentiellement féminin. A ses anciens succès romantiques, il a rajouté des textes nouveaux plus «engagés», des mélodies accrocheuses au rythme jazzy. Lavoine, voix cassée, a déployé sur scène beaucoup d’humour.
Alain Lanty s’installe au piano et Marc Lavoine déboule sur scène, chemise de soie rouge, jeans noir et baskets. On commence par «Ami, viens boire un verre» pour enchaîner avec «Bascule avec moi». Il n’en faut pas plus pour faire chavirer les cœurs palpitants.
Cheveux noirs sagement plaqués en arrière, regard bleu-vert clair, un charme ravageur dont Lavoine semble s’amuser lui-même. Tout à fait fleur bleue à ses débuts en 1983, Marc Lavoine a gagné en profondeur.
Avec la maturité, ses textes ont pris du poids. L’amour est toujours là, mais des thèmes plus variés, parfois plus engagés viennent s’y greffer: la prostitution, «Myriam»; le portrait d’un pays, «C’est ça la France»...
Pendant une centaine de minutes, les tubes se sont enchaînés: «Je n’ai plus rien à te donner», «Si tu veux le savoir», «Paris, Paris», «Le parking des anges», «Le monde est tellement con», «Rue Fontaine», «Pour une biguine avec toi»... Et bien sûr, «Les yeux revolver» qui n’a pas manqué de faire tomber en pâmoison la gent féminine et d’arracher au chanteur un sourire gentiment moqueur...
Bissé avec enthousiasme, Lavoine a servi en finish un pot pourri de ses amis: Serge Gainsbourg, Michel Berger, Vanessa Paradis, Alain Souchon...
«J’ai le cœur qui traîne, dans la rue Fontaine. Et j’ai de l’eau, de l’eau dans les yeux...», a chanté Lavoine avant de quitter la scène beyrouthine.
A. G.
Alain Lanty s’installe au piano et Marc Lavoine déboule sur scène, chemise de soie rouge, jeans noir et baskets. On commence par «Ami, viens boire un verre» pour enchaîner avec «Bascule avec moi». Il n’en faut pas plus pour faire chavirer les cœurs palpitants.
Cheveux noirs sagement plaqués en arrière, regard bleu-vert clair, un charme ravageur dont Lavoine semble s’amuser lui-même. Tout à fait fleur bleue à ses débuts en 1983, Marc Lavoine a gagné en profondeur.
Avec la maturité, ses textes ont pris du poids. L’amour est toujours là, mais des thèmes plus variés, parfois plus engagés viennent s’y greffer: la prostitution, «Myriam»; le portrait d’un pays, «C’est ça la France»...
Pendant une centaine de minutes, les tubes se sont enchaînés: «Je n’ai plus rien à te donner», «Si tu veux le savoir», «Paris, Paris», «Le parking des anges», «Le monde est tellement con», «Rue Fontaine», «Pour une biguine avec toi»... Et bien sûr, «Les yeux revolver» qui n’a pas manqué de faire tomber en pâmoison la gent féminine et d’arracher au chanteur un sourire gentiment moqueur...
Bissé avec enthousiasme, Lavoine a servi en finish un pot pourri de ses amis: Serge Gainsbourg, Michel Berger, Vanessa Paradis, Alain Souchon...
«J’ai le cœur qui traîne, dans la rue Fontaine. Et j’ai de l’eau, de l’eau dans les yeux...», a chanté Lavoine avant de quitter la scène beyrouthine.
A. G.
Les deux concerts de Lavoine «le beau gosse» ont mobilisé un public essentiellement féminin. A ses anciens succès romantiques, il a rajouté des textes nouveaux plus «engagés», des mélodies accrocheuses au rythme jazzy. Lavoine, voix cassée, a déployé sur scène beaucoup d’humour.Alain Lanty s’installe au piano et Marc Lavoine déboule sur scène, chemise de soie rouge, jeans noir...
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