C’est ce que rapporte notre correspondant dans la région, Michel Hallak, auquel ces Libanais sans papiers ont demandé d’être leur porte-parole.
Issus de 17 villages et localités du Akkar, ces 1.500 personnes ne parviennent plus à obtenir d’extraits d’état civil, leurs dossiers à l’état civil ayant été, leur affirme-t-on, détruits par le feu au cours des premières années de la guerre libanaise.
Depuis plusieurs années qu’ils travaillent à résoudre leur problème, ces 1.500 «apatrides» ont effectué des réclamations auprès de pratiquement toutes les instances concernées. Mais toutes les promesses qui leur ont été faites sont demeurées vaines. Et ils en appellent donc aujourd’hui à l’opinion publique.
Une affaire à suivre de près dans l’espoir qu’elle connaîtra bientôt un épilogue heureux...
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
Don européen : suite à la levée de boucliers, Berry et Mikati s’activent
Oussama Hamdane : Nous avons accepté l’accord de trêve sans renoncer à nos constantes