En 1960, Kennedy se proclamait «Ein Berliner», pour vomir le Mur d’Ulbricht.
Rien ne se perd, rien ne se crée. Rien de secret: on n’a cessé de nous répéter que Beyrouth, Berlin, la reconstruction, c’est tout un. Il est donc très logique qu’abattu à Berlin le Mur se retrouve chez les abattus de par ici, toujours à l’Est...
Il ne reste qu’à installer des miradors et des vopos tirailleurs à Tabaris, pour compléter cette stratégie d’encerclement qui vise à couper les pattes au phénix pour que, même s’il devait renaître de ses cendres, il ne puisse plus voler de sitôt...
Mais on se demande après ça qui donc cherche à refaire de ce pays un patchwork de ghettos...
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
Don européen : suite à la levée de boucliers, Berry et Mikati s’activent
Oussama Hamdane : Nous avons accepté l’accord de trêve sans renoncer à nos constantes