Hier, de nombreuses délégations populaires ont afflué à la résidence du parlementaire à Tripoli pour lui exprimer leur soutien et lui affirmer leur disposition à organiser des mouvements de protestation. Devant ses supporters, M. Fadel a expliqué les raisons qui l’ont poussé à brandir la menace de la démission du Parlement, soulignant notamment que sa position «n’est pas dirigée contre le gouvernement ou contre son chef mais contre la routine qui entrave l’exécution des projets de développement».
Et d’ajouter: «Quel est l’intérêt de l’action parlementaire si le député ne peut pas tenir les promesses qu’il avait formulées à ses électeurs et si le gouvernement est incapable également de concrétiser ses promesses aux députés et à la population».
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