La salle de verre du ministère du Tourisme (Hamra) ouvre ses portes, jusqu’au 1er mars, à l’art contemporain roumain. Organisée par l’ambassade roumaine, une vaste exposition présente une centaine de toiles illustrant les divers courants de l’art pictural contemporain de ce pays. Mais aussi des pièces de verrerie, de la céramique, des tapisseries, des sculptures et des figurines en cristal et pierres semi-précieuses.
Les œuvres présentées se rapportent à deux grandes tendances. Il y a d’une part des toiles qui introduisent les composantes spécifiques de la culture roumaine — fragments d’art religieux et populaire — dans des compositions modernes qui tendent vers l’abstraction. Une école qui comprend Marin Gherasim; Corneliu Vasilescu; peintre de la «vendetta», Razvan Ionescu, qui juxtapose dans deux toiles les symboles du passé (totem incrusté de hiéroglyphes) et de l’avenir (tour d’église)... Et d’autre part des toiles post-modernes orientées vers l’actualité comme celles de Ion Grigorescu qui reproduit un tournage de télévision ou qui met en scène «le capitalisme contemplant les derniers soubresauts du communisme»... dans ce même registre les mixed-médias de Teodor Moraru sont d’une agressivité qui saute aux yeux.
Le cubisme, le réalisme, l’expressionnisme, le collage sont également de la partie. Ainsi qu’une série de tableaux naïfs, une autre de paysages figuratifs et les traditionnelles aquarelles aux fleurs...
Les travaux de tapisseries quant à eux oscillent entre le style décoratif et le symbolisme pur. Côté verrerie, les vases, plats, amphores et bibelots en verre soufflé ou en verre moulé coloré sont visiblement le fruit d’un travail de recherche exigeant. Les plats et vases en céramique émaillée et en grès présentent, pour leur part, des formes plus banales.
Du côté des sculptures, la figuration symbolique est reine. En cuivre, en bronze patiné, en bois, des pièces de dimensions moyennes qui expriment un mélange de violence et de simplicité... Il y a aussi des statuettes en plaques de cuivre, en fil de métal montées sur des socles en marbre. Et enfin des figures d’insectes (scarabée, libellule...) et des bibelots en cristal taillé avec incrustation de pierres semi-précieuses montées sur argent...
Une intéressante perspective d’ensemble sur l’art contemporain roumain.
Les œuvres présentées se rapportent à deux grandes tendances. Il y a d’une part des toiles qui introduisent les composantes spécifiques de la culture roumaine — fragments d’art religieux et populaire — dans des compositions modernes qui tendent vers l’abstraction. Une école qui comprend Marin Gherasim; Corneliu Vasilescu; peintre de la «vendetta», Razvan Ionescu, qui juxtapose dans deux toiles les symboles du passé (totem incrusté de hiéroglyphes) et de l’avenir (tour d’église)... Et d’autre part des toiles post-modernes orientées vers l’actualité comme celles de Ion Grigorescu qui reproduit un tournage de télévision ou qui met en scène «le capitalisme contemplant les derniers soubresauts du communisme»... dans ce même registre les mixed-médias de Teodor Moraru sont d’une agressivité qui saute aux yeux.
Le cubisme, le réalisme, l’expressionnisme, le collage sont également de la partie. Ainsi qu’une série de tableaux naïfs, une autre de paysages figuratifs et les traditionnelles aquarelles aux fleurs...
Les travaux de tapisseries quant à eux oscillent entre le style décoratif et le symbolisme pur. Côté verrerie, les vases, plats, amphores et bibelots en verre soufflé ou en verre moulé coloré sont visiblement le fruit d’un travail de recherche exigeant. Les plats et vases en céramique émaillée et en grès présentent, pour leur part, des formes plus banales.
Du côté des sculptures, la figuration symbolique est reine. En cuivre, en bronze patiné, en bois, des pièces de dimensions moyennes qui expriment un mélange de violence et de simplicité... Il y a aussi des statuettes en plaques de cuivre, en fil de métal montées sur des socles en marbre. Et enfin des figures d’insectes (scarabée, libellule...) et des bibelots en cristal taillé avec incrustation de pierres semi-précieuses montées sur argent...
Une intéressante perspective d’ensemble sur l’art contemporain roumain.
La salle de verre du ministère du Tourisme (Hamra) ouvre ses portes, jusqu’au 1er mars, à l’art contemporain roumain. Organisée par l’ambassade roumaine, une vaste exposition présente une centaine de toiles illustrant les divers courants de l’art pictural contemporain de ce pays. Mais aussi des pièces de verrerie, de la céramique, des tapisseries, des sculptures et des figurines en...
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