Dans son homélie dominicale prononcée après la lecture de l’évangile, il a poursuivi: «Sa Sainteté a toujours mis en garde contre le piège du désespoir, tout en prônant l’espérance fondée sur la foi en Dieu et l’amour du prochain».
La situation
internationale
et la violence
«La situation internationale fragile et instable, l’aggravation de la violence, le sentiment diffus d’inquiétude quant à l’avenir de l’humanité, les nombreuses déceptions et frustrations de certaines catégories de la société, la peur de l’inconnu peuvent en effet distiller en nous le poison du défaitisme et du pessimisme. Une telle situation peut nous inciter à la fuite en avant, à l’insouciance, au sarcasme et au désespoir», a ajouté le prélat maronite. Il a toutefois invité les croyants à «apprécier le temps qu’ils vivent sans regrets et sans illusions». Et de poursuivre: «La vie est un don que nous devons accepter quelles que soient les circonstances, (...) annonciatrices de paix ou de périls. Pour ce faire, il convient d’éduquer la volonté, de s’entraîner au sacrifice et à la privation de manière à développer une énergie intérieure susceptible de résorber les difficultés et de lutter contre la paresse», a conclu le patriarche.
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