La CGTL a de nouveau rappelé que la décision d’organiser ces élections — prise au départ à la demande du ministère du Travail — a déjà été reportée à plusieurs reprises depuis mai 96 et qu’elle n’entend plus surseoir à cette élection.
Il reste que le directeur général du ministère du Travail, M. Ratib Saliba, a réaffirmé de son côté à l’agence locale de presse «Al Markaziya» que le ministère ne reconnaît pas la légalité de la convocation lancée par la CGTL et qu’il s’abstiendra donc de se faire représenter au scrutin.
Les élections auront-elles lieu quand même et quelles en seront, le cas échéant, les retombées?
Telle est la question qui se posait hier soir alors que des contacts se poursuivaient en coulisses pour amener la CGTL à faire marche arrière.
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