Rechercher
Rechercher

Actualités - CHRONOLOGIE

Flashes du monde politique

l Le chef du parti de la «Solidarité», M. Emile Rahmé, a souligné la nécessité de clore le dossier des interpellations «car il n’est de l’intérêt de personne au sein du pouvoir de rappeler à l’opinion publique internationale le temps des milices» au Liban, a-t-il affirmé dans un communiqué.

l Le Bureau central de coordination nationale (aouniste) a publié hier un communiqué dans lequel il a notamment remercié le patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, et le métropolite grec-orthodoxe de Beyrouth, Mgr Elias Audé, pour leurs positions prises à la suite des dernières interpellations.
Le communiqué du BCCN a ajouté que «la sécurité à laquelle nous sommes particulièrement attachés ne justifie en aucune façon les pratiques qui violent les droits de l’homme, sa dignité et sa liberté». Et de conclure en affirmant sa volonté de «poursuivre la lutte jusqu’à la réalisation de nos objectifs de liberté, de souveraineté et de libre décision».

l Les partis nassériens ont décidé de former un comité de coordination pour unifier leur stratégie visant à une renaissance du monde arabe. Le comité comprend des représentants des partis nassériens dans les pays suivants: Egypte, Liban, Yémen, Syrie, Soudan et Mauritanie.
Cette décision a été prise à l’issue du deuxième congrès de ces partis tenu au Caire.
l Le président des tribunaux religieux sunnites au Liban, cheikh Nasser Saleh, a estimé que tous ceux qui évoquent le mariage civil visent à séparer les Libanais de leurs religions. Il a demandé aux responsables de clore le sujet des amendements constitutionnels concernant le statut personnel.
De son côté, le «Mouvement de l’unification islamique» a réitéré son rejet du mariage civil, estimant que l’éventuel amendement de la loi sur le statut personnel «porterait en lui les germes d’une nouvelle guerre». Dans un communiqué publié à ce sujet, le MUI a demandé au chef du gouvernement, M. Rafic Hariri, de «trancher cette question de manière définitive».
l L’opposition Kataëb d’Achrafieh, réunie hier au domicile de M. Michel Jabbour, a dénoncé les attentats perpétrés au Liban et en Syrie «car ils portent atteinte à la paix civile au Liban et visent de manière flagrante à torpiller les relations entre les peuples libanais et syrien».
l Le chef du parti de la «Solidarité», M. Emile Rahmé, a souligné la nécessité de clore le dossier des interpellations «car il n’est de l’intérêt de personne au sein du pouvoir de rappeler à l’opinion publique internationale le temps des milices» au Liban, a-t-il affirmé dans un communiqué.l Le Bureau central de coordination nationale (aouniste) a publié hier un...