Fondée en Belgique, en 1927, l’UCIP est l’une des organisations professionnelles les plus dynamiques du monde catholique, a précisé le P. Gemayel, soulignant que le CCI est membre institutionnel de cette organisation, répandue dans plus de 120 pays du monde.
De son côté, M. Chittilapilly a précisé que l’UCIP organise un congrès mondial, tous les trois ans, et des forums plus restreints, qui sont des sessions d’échanges et de formation où des questions d’actualité brûlante tant au plan journalistique que social, politique, économique, culturel et religieux, sont abordées. C’est ce type de session qui se tiendra fin novembre, ou début décembre, à Beyrouth. L’accord des responsables politiques à ce sujet a déjà été obtenu, précise-t-on.
Par ailleurs, un comité libanais a été formé en vue de la création d’une UCIP-Liban, dont la principale caractéristique sera de perdre son caractère strictement catholique et de revêtir un caractère plus largement chrétien. Sa vocation sera d’être une association de journalistes chrétiens dont les idéaux seront ceux de l’UCIB: la promotion d’un journalisme professionnel se référant constamment aux valeurs chrétiennes et humaines, et tout orienté vers la promotion de la «civilisation de l’amour» chère aux encycliques des papes Paul VI et Jean-Paul II.
Le CCI sur Internet
Sur un autre plan, le CCI a invité les représentants de la presse à la cérémonie d’inauguration de son nouvel équipement électronique, qui lui permettra d’être relié au réseau Internet. L’équipement est un don de la Fondation Issam Farès. La rencontre a été fixée à demain, 13 heures.
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