Les prix du pétrole sont un peu remontés hier à New York, soutenus par un recul moins marqué que prévu du produit intérieur brut des États-Unis, premier consommateur mondial d'or noir, mais freinés par une possible grève dans les raffineries américaines. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de « light sweet crude » pour livraison en mars a fini à 41,68 dollars, en hausse de 24 cents par rapport à son cours de clôture de jeudi. À Londres, sur l'InterContinental Exchange, le baril de Brent de la mer du Nord à échéance identique a gagné 48 cents à 45,88 dollars. L'euro a reculé vendredi face au dollar, le marché des changes s'interrogeant sur la capacité des dirigeants européens à répondre à la crise, tandis que la monnaie américaine profitait d'un recul moins prononcé qu'envisagé du produit intérieur brut des États-Unis. Les Bourses européennes et américaine ont terminé la semaine en nette baisse vendredi, au terme de séances très volatiles, les marchés restant très sensibles aux publications macroéconomiques confirmant l'ampleur de la récession aux États-Unis et en Europe.
Les prix du pétrole sont un peu remontés hier à New York, soutenus par un recul moins marqué que prévu du produit intérieur brut des États-Unis, premier consommateur mondial d'or noir, mais freinés par une possible grève dans les raffineries américaines. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de...
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