
La direction générale du ministère des Finances à Beyrouth, le 15 novembre 2024. Philippe Hage Boutros/L’Orient-Le Jour
Le ministre des Finances, Yassine Jaber, reste fermement opposé à l’introduction de nouvelles taxes.
OLJ / Par Mounir YOUNES, le 18 juin 2025 à 00h00
La direction générale du ministère des Finances à Beyrouth, le 15 novembre 2024. Philippe Hage Boutros/L’Orient-Le Jour
Je désespère!
Combien de temps encore faut-il encore subir Berri et sa mafia légendaire qui empêche le pays de se restructurer sainement ? Sa place est dans une prison et non pas dans un palais pimpant.
Il faudrait que les libanais puissent s'emparer de ce débat, qu'ils ne se tiennent pas uniquement dans les bureaux des ministères ....
Pour ameliorer les recettes fiscales, le ministere des finances devrait commencer par percevoir les taxes et impots sur activites illegales mais tolerees : exploitation privee des biens-fonds maritimes, carrieres pharaoniques s'etendant sur des pans de montagnes entiers, benefices provenant de l'exploitation de generateurs electriques etc.... Il y a plusieurs milliards de dollars a grapiller rien qu'en appliquant correctement les lois actuelles.
Elémentaire mon cher Watson. Le peuple libanais a toujours été la vache à lait de ses misérables gouvernants. Sa capacité d’absorber est infinie, alors haro sur le baudet. On nous a volés nos économies, et on sait qui les a volées, et malgré celà lorsqu’il y a une manifestation de revendication à peine une dizaine de personnes se déplacent ! Avec ce corrompu de Berry déjà représenté par un ministre des finances, et qui insiste pour placer un de « ses » juges à la tête de la justice financière les choses ne vont pas aller mieux. A croire que souvent seuls les pourris ont une longue vie.
Inertie dans tout. Inertie partout. Zero Gouvernance.
Je désespère!
09 h 50, le 22 juin 2025