Sam Rawadi, une vision personnelle de la mode. Photo DR
Des rues animées de Tripoli aux pages de Vogue Arabia, Elle ou encore Harper’s Bazaar, Sam Rawadi s’est imposé comme une référence de la photographie de mode au Moyen-Orient. Depuis Dubaï, où il vit, Rawadi capture des icônes comme Naomi Campbell avec une signature visuelle à la fois brute, poétique et intensément personnelle.Né en 1986 et élevé entre les montagnes paisibles de Bickfaya dans le Metn et le tumulte de Tripoli au Liban-Nord, Sam incarne ce mélange rare de calme et de complexité qui traverse toute son œuvre. « Peu importe où je travaille ou qui je photographie, je reste ce gamin issu d’une ville modeste. Je n’ai jamais perdu cette simplicité », dit-il. C’est cette dualité – enracinée dans la richesse culturelle libanaise – qui façonne sa vision et sa sensibilité artistiques.Entre précision numérique et poésie argentique« Mon...
Des rues animées de Tripoli aux pages de Vogue Arabia, Elle ou encore Harper’s Bazaar, Sam Rawadi s’est imposé comme une référence de la photographie de mode au Moyen-Orient. Depuis Dubaï, où il vit, Rawadi capture des icônes comme Naomi Campbell avec une signature visuelle à la fois brute, poétique et intensément personnelle.Né en 1986 et élevé entre les montagnes paisibles de Bickfaya dans le Metn et le tumulte de Tripoli au Liban-Nord, Sam incarne ce mélange rare de calme et de complexité qui traverse toute son œuvre. « Peu importe où je travaille ou qui je photographie, je reste ce gamin issu d’une ville modeste. Je n’ai jamais perdu cette simplicité », dit-il. C’est cette dualité – enracinée dans la richesse culturelle libanaise – qui façonne sa vision et sa sensibilité artistiques.Entre...
