« Anything Goes », « Kello masmouh », même la joie, malgré la peine
Après l’immense succès de « Chicago bil Arabi » qui a rehaussé le niveau des comédies musicales au Liban, Roy el-Khoury et Nayla Khoury se jettent à l’eau sur les planches du Casino du Liban avec l’adaptation en arabe d’un classique de Broadway et une Carole Samaha exceptionnelle.
Carole Samaha, professionnelle jusqu’au bout de sa peine. Photo anythinggoes.arabia
Lundi soir, 20h30. Pour la première d’Anything Goes bil Arabi, le Casino du Liban enfile son costume de fête. Des célébrités du monde de l’art, de la musique, du théâtre, sur leur 31, sont assaillies par les journalistes people. Après avoir fait leur entrée dans l’ordre et imposé le silence, les 22 musiciens sont prêts, la baguette magique d’Elio Kallassi dressée. On retient son souffle un court instant. Les mythiques rideaux en velours rouge s’ouvrent, les lumières éclairent alors la scène, grandiose, et c’est parti. Dès les premières notes de Cole Porter, le temps est oublié, les difficultés à mener ce projet à bout après une année maudite envolées.Puis débarque Carole Samaha sur ce bateau de croisière magique, professionnelle jusqu’au bout de sa peine. Une première standing ovation, comme pour la remercier d’être là. Sans avoir encore...
Lundi soir, 20h30. Pour la première d’Anything Goes bil Arabi, le Casino du Liban enfile son costume de fête. Des célébrités du monde de l’art, de la musique, du théâtre, sur leur 31, sont assaillies par les journalistes people. Après avoir fait leur entrée dans l’ordre et imposé le silence, les 22 musiciens sont prêts, la baguette magique d’Elio Kallassi dressée. On retient son souffle un court instant. Les mythiques rideaux en velours rouge s’ouvrent, les lumières éclairent alors la scène, grandiose, et c’est parti. Dès les premières notes de Cole Porter, le temps est oublié, les difficultés à mener ce projet à bout après une année maudite envolées.Puis débarque Carole Samaha sur ce bateau de croisière magique, professionnelle jusqu’au bout de sa peine. Une première standing ovation, comme pour...
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