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Lifestyle - Allô, chérie ?

Sophie Fontanel : Ce qui m’agace dans la mode ? L’hypocrisie, l’entre-soi et les talons trop hauts

Chaque semaine, nous demandons à une personnalité de se prêter au jeu de l’interview décalée. L’idée : répondre à des questions légères, inattendues, en lien ou non avec son domaine de prédilection. Cette semaine, l’écrivaine française et spécialiste de la mode Sophie Fontanel y passe, non sans écorcher gentiment son propre milieu.

Sophie Fontanel : Ce qui m’agace dans la mode ? L’hypocrisie, l’entre-soi et les talons trop hauts

Sophie Fontanel, autrice française spécialisée dans la mode. Photo DR

« Bien sûr, avec plaisir ! Je connais très bien votre journal. » Quand on lui propose un entretien, Sophie Fontanel accepte presque automatiquement, sans réfléchir. Amie du Liban et de Rabih Kayrouz pour qui elle a défilé, l’écrivaine de 62 ans a su se frayer un chemin dans l’univers de la mode française, dotée d’une simplicité de caractère et d’une sympathie quasi désarmantes dans ce milieu. Si bien qu’aujourd’hui des centaines de milliers d’internautes, jeunes comme moins jeunes, suivent ses pérégrinations sur les réseaux.Autrice de dizaines d’ouvrages et de best-sellers traduits dans de nombreuses langues, la fille de réfugiés arméniens a fait de sa douceur un credo, de ses prétendues faiblesses une force. Elle défend mordicus (et bien avant la tendance) la beauté des cheveux blancs et la poésie des rides, s’attaque aux pensées...
« Bien sûr, avec plaisir ! Je connais très bien votre journal. » Quand on lui propose un entretien, Sophie Fontanel accepte presque automatiquement, sans réfléchir. Amie du Liban et de Rabih Kayrouz pour qui elle a défilé, l’écrivaine de 62 ans a su se frayer un chemin dans l’univers de la mode française, dotée d’une simplicité de caractère et d’une sympathie quasi désarmantes dans ce milieu. Si bien qu’aujourd’hui des centaines de milliers d’internautes, jeunes comme moins jeunes, suivent ses pérégrinations sur les réseaux.Autrice de dizaines d’ouvrages et de best-sellers traduits dans de nombreuses langues, la fille de réfugiés arméniens a fait de sa douceur un credo, de ses prétendues faiblesses une force. Elle défend mordicus (et bien avant la tendance) la beauté des cheveux blancs et la poésie...
commentaires (1)

Il ne faut pas renier ses racines.

Marie Claude

08 h 32, le 13 mai 2025

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Commentaires (1)

  • Il ne faut pas renier ses racines.

    Marie Claude

    08 h 32, le 13 mai 2025

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