
Le député Ibrahim Kanaan, président de la commission parlementaire des Finances. Photo ANI
Entre considérations politiques, résistances bancaires et questions de compétences, le début de l’examen du texte en commission a fait de nouveau apparaître des lignes de fracture.
OLJ / Par Mounir YOUNES, le 01 mai 2025 à 00h00
Le député Ibrahim Kanaan, président de la commission parlementaire des Finances. Photo ANI
"première séance (de la commission parlementaire des finances) à laquelle ont participé pas moins de 35 députés ainsi que des représentants du secteur bancaire et de la Commission de contrôle des banques (CCB)" Ah bon ? Toutes les canailles mafieuses sont presentes, alors que les principaux leses, les epargnants, sont totalement ecartes des discussions. C'est dire, des maintenant, dans quels sens va la pretendue "restructuration".
Certains députés jouent sur la fibre confessionnelle. Il faut sauver le soldat banquier chrétien. Mais ces banquiers ont croqué l’argent des déposants et l’ont mis à l’ombre sous d’autres cieux. Les sauver, c’est nous exposer à d’autres malversations. Il est temps de faire le ménage et que seuls les banquiers intègres restent. Virez la cailléra, sinon on va vous virer.
A lire cet excellent papier, je crains qu’on soit repartis dans les atermoiements. La loi sur le secret bancaire est passée grâce à la pression internationale. Mais ce parlement ne vaut rien, trop corrompu pour modifier la donne. MY n’hésite pas à donner des noms. Comme ça, aux législatives de 2026, on pourra pas dire qu’on ne savait pas.
Les anciens responsables au pouvoir ont tout fait pour e lécher la commission, chèrement rétribuée, à faire la lumière sur ce hold up du siècle. Il est impératif de se focaliser la dessus à fin de savoir qui des banquiers ou des politiciens ont pillé ces milliards afin de les récupérer et ainsi satisfaire tout le monde sans avoir à ruiner encore plus notre pays en piochant dans les seules réserves qui lui reste, et qui représentent la seule garantie pour l’empêcher de sombrer dans une faillite sans précédent. Les politiciens évite de lever le couvert et pour cause…
bla, bla et encore bla. 2019-2025, 6 annees de discussions steriles pour aboutir a "SORTIR" un seul LAPIN, une nouveaute qui est -deja- sujette a qqs autres 6 annees- avant que d'en finir: LA FAUTE N'EST PAS AUX BANQUES(BANQUIERS ET ASSOCIES) LE PROBLEME SYSTEMIQUE pas du tout SYSTEMATIQUE ? qui dit mieux se mette dans la file d'attente .
Ce député en question est corrompu jusqu’à la moelle épinière…. En plus il est inculte…..
D’un point de vue simpliste et sauf erreur, l’Etat est responsable de sa banque centrale. Le ministère des finances y a un contrôleur sensé surveiller ses activités. Les milliards des déposants ont bien été dilapidés par cette banque, qui “applique la politique de l’Etat” nous dit-on. On a déjà deux coupables. Reste le troisième larron, les banques. Rien ne les obligeait à céder toutes nos économies à fond perdu, à la BC si ce n’est l’appât du gain monstrueux réalisé á nos dépens et expatrié ailleurs. Le déposant est le seul innocent et les trois voleurs doivent seuls se partager la note.
Changer les membres de la commission qui appartient à l’ancienne équipe doit être la première chose à faire
"première séance (de la commission parlementaire des finances) à laquelle ont participé pas moins de 35 députés ainsi que des représentants du secteur bancaire et de la Commission de contrôle des banques (CCB)" Ah bon ? Toutes les canailles mafieuses sont presentes, alors que les principaux leses, les epargnants, sont totalement ecartes des discussions. C'est dire, des maintenant, dans quels sens va la pretendue "restructuration".
15 h 51, le 01 mai 2025