
Un soldat syrien devant le poste frontière de Masnaa, le 26 avril 2005. Joseph Barrak/AFP
Deux décennies après le départ des derniers soldats syriens au Liban, et quelques mois après la chute du régime Assad, la relation entre Beyrouth et Damas a changé de nature. Le temps des ingérences est révolu.
OLJ / Par Stéphanie KHOURI, le 25 avril 2025 à 21h38 , mis à jour à 26 avril 2025 à 00h00
Un soldat syrien devant le poste frontière de Masnaa, le 26 avril 2005. Joseph Barrak/AFP
Modèle du Benelux, ou de l’Union Européenne, pouquoi pas? Mais il faut garder en tête que dans tous ces pays, on est Français, Allemand, Italien, Portugais etc. d’abord, Européen ensuite, et finalement (pour certains), catholique, protestant, juif ou autre… On est encore loin de ça dans notre région.
D'abord justice pour nos héros nationaux
Qu'ils exhument d'abord leurs archives interministérielles et nous dénichent le nom du/des commanditaires des assassinats de Samir Kassir, Gebran Tueni, Rafiq Hariri, Lokman Slim et tant d'autres... ils honoreront leur mémoire !
Benelux : Liban/Syrie/Irak/Jordanie ... C'est devenu inéluctable
Modèle du Benelux, ou de l’Union Européenne, pouquoi pas? Mais il faut garder en tête que dans tous ces pays, on est Français, Allemand, Italien, Portugais etc. d’abord, Européen ensuite, et finalement (pour certains), catholique, protestant, juif ou autre… On est encore loin de ça dans notre région.
15 h 39, le 28 avril 2025