
La façade de la Banque du Liban avec un graffiti vraisemblablement laissé par un groupe acquis à la cause des déposants, le 30 janvier 2025. Photo P.H.B.
La présence possible au sein du comité du président de la Commission de contrôle et celui de la Société de garantie des dépôts réduirait le pouvoir du gouverneur de la banque centrale.
OLJ / Par Mounir YOUNES, le 11 avril 2025 à 00h00
La façade de la Banque du Liban avec un graffiti vraisemblablement laissé par un groupe acquis à la cause des déposants, le 30 janvier 2025. Photo P.H.B.
JUSQU,OU PEUT ALLER LA BETISE !
Arrêtez svp de mêler confessions religieuses à ce problème grave. Ce sont des gens compétents qu'il nous faut quel que soit leur foi. Les déposants ont besoin de leur argent.
Ce sont les pouvoirs etendus du gouverneur de la Banque Centrale et l'absence d'un organisme de controle independant qui ont permis a Riad Salame et aux ministres des finances des dix dernieres annees de mener le pays dans un gouffre financier sans fond. Le pretexte confessionnel n'est qu'un mensonge de plus pour permettre aux mafieux de ne pas avoir a rendre des comptes. A l'oppose, un representant des deposants devrait etre adjoint a l'organisme de controle.
JUSQU,OU PEUT ALLER LA BETISE !
13 h 12, le 11 avril 2025