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Économie - Éclairage

Le confessionnalisme s’invite dans le débat sur la composition de l’autorité de restructuration bancaire

La présence possible au sein du comité du président de la Commission de contrôle et celui de la Société de garantie des dépôts réduirait le pouvoir du gouverneur de la banque centrale. 

Le confessionnalisme s’invite dans le débat sur la composition de l’autorité de restructuration bancaire

La façade de la Banque du Liban avec un graffiti vraisemblablement laissé par un groupe acquis à la cause des déposants, le 30 janvier 2025. Photo P.H.B.

Depuis sa première présentation au Conseil des ministres samedi dernier, puis de nouveau mardi, le projet de loi sur la restructuration du secteur bancaire a déclenché de vifs débats. Les discussions se poursuivent jeudi et devraient se prolonger jusqu’à vendredi, en vue d’une adoption avant la fin de la semaine. Mais le débat le plus décisif reste à venir : celui qui se tiendra au sein du Parlement, où le texte devra être adopté pour pouvoir entrer en vigueur.Parmi les points les plus sensibles figure la création d’une autorité bancaire chargée de piloter l’ensemble du processus de restructuration. Présidée par le gouverneur de la Banque du Liban, cette instance jouera un rôle similaire à celui d’une cour suprême, avec le pouvoir de statuer de manière définitive sur les modalités de mise en œuvre de la réforme. Elle devra notamment...
Depuis sa première présentation au Conseil des ministres samedi dernier, puis de nouveau mardi, le projet de loi sur la restructuration du secteur bancaire a déclenché de vifs débats. Les discussions se poursuivent jeudi et devraient se prolonger jusqu’à vendredi, en vue d’une adoption avant la fin de la semaine. Mais le débat le plus décisif reste à venir : celui qui se tiendra au sein du Parlement, où le texte devra être adopté pour pouvoir entrer en vigueur.Parmi les points les plus sensibles figure la création d’une autorité bancaire chargée de piloter l’ensemble du processus de restructuration. Présidée par le gouverneur de la Banque du Liban, cette instance jouera un rôle similaire à celui d’une cour suprême, avec le pouvoir de statuer de manière définitive sur les modalités de mise en œuvre de la...
commentaires (3)

JUSQU,OU PEUT ALLER LA BETISE !

LA LIBRE EXPRESSION : LA PATRIE EST EN PERIL

13 h 12, le 11 avril 2025

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Commentaires (3)

  • JUSQU,OU PEUT ALLER LA BETISE !

    LA LIBRE EXPRESSION : LA PATRIE EST EN PERIL

    13 h 12, le 11 avril 2025

  • Arrêtez svp de mêler confessions religieuses à ce problème grave. Ce sont des gens compétents qu'il nous faut quel que soit leur foi. Les déposants ont besoin de leur argent.

    Georges Zehil Daniele

    09 h 09, le 11 avril 2025

  • Ce sont les pouvoirs etendus du gouverneur de la Banque Centrale et l'absence d'un organisme de controle independant qui ont permis a Riad Salame et aux ministres des finances des dix dernieres annees de mener le pays dans un gouffre financier sans fond. Le pretexte confessionnel n'est qu'un mensonge de plus pour permettre aux mafieux de ne pas avoir a rendre des comptes. A l'oppose, un representant des deposants devrait etre adjoint a l'organisme de controle.

    Michel Trad

    01 h 14, le 11 avril 2025

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