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Société - Sécurité

Le sort de quatre chasseurs libanais égarés en Syrie reste inconnu

Les quatre amis originaires du Akkar étaient venus chasser jeudi dernier dans la région de Tabqa, dans le Nord syrien. Les autorités locales démentent leur arrestation.  

Le sort de quatre chasseurs libanais égarés en Syrie reste inconnu

Cette photo prise le 26 juillet 2021 montre une vue de l’Euphrate près du barrage de Tabqa de 1973 (non visible) dans la province de Raqqa, dans l’est de la Syrie. Archives AFP

Quatre chasseurs du Akkar, Mohammad Qaddour, originaire de Bebnine, Omar el-Akoumi, Hassane Mansour et Abdessalam Ibrahim, domiciliés à Halba, se trouveraient toujours en Syrie, après avoir été vraisemblablement arrêtés vendredi 24 janvier vers Tabqa (Nord-Est) alors qu’ils tentaient de rejoindre le territoire libanais.Ce groupe d’amis, qui chassent régulièrement ensemble, a traversé la frontière à bord de la jeep grise de Omar le jeudi 23 janvier, avec leurs armes et leur matériel, où ils auraient rejoint une connaissance syrienne originaire de la province de Raqqa. Située à quelque 300 kilomètres en voiture depuis Halba, la zone est connue pour ses réserves proches de l’imposant Lac Assad.Selon les témoignages de leurs familles et d’édiles locaux, comme le mokhtar de Bebnin, Zaher Kassar, qui s’activent depuis plusieurs jours pour...
Quatre chasseurs du Akkar, Mohammad Qaddour, originaire de Bebnine, Omar el-Akoumi, Hassane Mansour et Abdessalam Ibrahim, domiciliés à Halba, se trouveraient toujours en Syrie, après avoir été vraisemblablement arrêtés vendredi 24 janvier vers Tabqa (Nord-Est) alors qu’ils tentaient de rejoindre le territoire libanais.Ce groupe d’amis, qui chassent régulièrement ensemble, a traversé la frontière à bord de la jeep grise de Omar le jeudi 23 janvier, avec leurs armes et leur matériel, où ils auraient rejoint une connaissance syrienne originaire de la province de Raqqa. Située à quelque 300 kilomètres en voiture depuis Halba, la zone est connue pour ses réserves proches de l’imposant Lac Assad.Selon les témoignages de leurs familles et d’édiles locaux, comme le mokhtar de Bebnin, Zaher Kassar, qui s’activent...
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Ils n’ont qu’à rester chez eux ça suffit la chasse aux oiseaux rares

Eleni Caridopoulou

18 h 37, le 30 janvier 2025

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Commentaires (1)

  • Ils n’ont qu’à rester chez eux ça suffit la chasse aux oiseaux rares

    Eleni Caridopoulou

    18 h 37, le 30 janvier 2025

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