
Un combattant affilié à la nouvelle administration syrienne passe à la baïonnette un portrait du président déchu Bachar el-Assad, dans la défunte prison militaire de Mazzeh à Damas, le 2 janvier 2025. Anwar Amro/AFP
Près d’un mois après la chute de Bachar el-Assad, le groupe islamiste radical au pouvoir peine à asseoir son autorité sur l’ensemble du territoire.
OLJ / Par Noura DOUKHI, le 04 janvier 2025 à 11h39
Un combattant affilié à la nouvelle administration syrienne passe à la baïonnette un portrait du président déchu Bachar el-Assad, dans la défunte prison militaire de Mazzeh à Damas, le 2 janvier 2025. Anwar Amro/AFP