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Politique - Diplomatie

À quelques jours de la présidentielle, Riyad fait son grand retour au Liban

Fayçal ben Farhane est attendu début janvier à Beyrouth, une première pour un ministre saoudien des Affaires étrangères depuis 2015. 

À quelques jours de la présidentielle, Riyad fait son grand retour au Liban

Le chef de la diplomatie saoudienne, Fayçal ben Farhane, lors du Sommet des Brics à Johannesburg, le 24 août 2023. LONGARI/POOL/AFP

Une intense activité diplomatique a été lancée au Liban à l’approche de la séance parlementaire en vue d’élire un président de la République, prévue le 9 janvier. Le commandant en chef de l’armée, Joseph Aoun, demeure le favori, bénéficiant d’une convergence interne et externe. Cependant, sa candidature se heurte à de nombreux obstacles, notamment le refus du Courant patriotique libre et du tandem chiite mais aussi la position des Forces libanaises, qui n’ont pas encore annoncé leur soutien au patron de la troupe, même après son retour d’Arabie saoudite. Outre Joseph Aoun, trois autres candidats sortent du lot et sont donc en lice : le directeur de la Sûreté générale, Élias Baïssari, l’ancien ministre des Finances Jihad Azour et le banquier Samir Assaf. Les enjeux pour le prochain présidentLa mission du futur président est désormais...
Une intense activité diplomatique a été lancée au Liban à l’approche de la séance parlementaire en vue d’élire un président de la République, prévue le 9 janvier. Le commandant en chef de l’armée, Joseph Aoun, demeure le favori, bénéficiant d’une convergence interne et externe. Cependant, sa candidature se heurte à de nombreux obstacles, notamment le refus du Courant patriotique libre et du tandem chiite mais aussi la position des Forces libanaises, qui n’ont pas encore annoncé leur soutien au patron de la troupe, même après son retour d’Arabie saoudite. Outre Joseph Aoun, trois autres candidats sortent du lot et sont donc en lice : le directeur de la Sûreté générale, Élias Baïssari, l’ancien ministre des Finances Jihad Azour et le banquier Samir Assaf. Les enjeux pour le prochain présidentLa mission...
commentaires (3)

Pourquoi on ne nous laisse pas tranquille ! On devrait être capable de régler nos soucis nous-même sans aucune intervention étrangère

Libanese

19 h 43, le 31 décembre 2024

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Commentaires (3)

  • Pourquoi on ne nous laisse pas tranquille ! On devrait être capable de régler nos soucis nous-même sans aucune intervention étrangère

    Libanese

    19 h 43, le 31 décembre 2024

  • -A L,HUMEUR DU PERCHE. -S,IL LE VEUT POINT D,OBSTACLE. -QUAND IL NE LE VEUT PAS, -CA DEVIENT UN OBSTACLE. -LORSQUE AU PERCHOIR ON GLISSE, -LE CHEF D,UNE MILICE, -ET EN CONSENSUEL, -ON SE TAIT SANS RAPPEL, -ON EST PLUS A BLAMER, -QUE CEUX QUI L,ONT NOMME. -POUR LEUR SERVICE IL JOUE, -LA SERRURE ET LA ROUE, -FAVORISANT LEURS JEUX, -CONTRE LES VERTUEUX. -IL EST A L,OBJECTIF, - CHEF DU LEGISLATIF, -ET DANS LE TEMPS PRESENT, -POURQUOI PAS ? PRESIDENT ! -AVEC MIKO AU PLAT, -IL S,OFFRE EN TANT QU,ETAT. =PROMOTEUR DE L,ACCORD,-DE LA HONTE ET DU TORT.-OU YAHU EUT LE ROLE,-SUR NOUS AVEC CONTROLE.

    LA LIBRE EXPRESSION. LA PATRIE EN PERIL.

    09 h 54, le 31 décembre 2024

  • L’appui à joseph Aoun est une très bonne chose. Fialement opter pour le chef de l’armée implique que celle-ci va enfin remplacer le hezb iranien et jouer le rôle que tous les Libanais souhaitent. L’Arabie séoudite moderne représente maintenant la modération…et sera le principal soutien financier du pays. Alors vivement que cette visite soit la bonne, et que nos politicards de fortune réduisent leur ambition personnelle au profit de la stabilité de notre malheureux pays. Ceux qui défendent les droits des chrétiens doivent le prouver. Le premier poste des chrétiens ne doit plus rester vacant.

    Goraieb Nada

    08 h 29, le 31 décembre 2024

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